Pearson célèbre la réouverture de sa deuxième piste la plus achalandée

(de gauche à droite) Deborah Flint, présidente et chef de la direction (GTAA); Pat Neville, vice-président Développement aéroportuaire et Services techniques (GTAA); et Craig Bradbrook, directeur de l’exploitation (GTAA) sur la piste 06L/24R récemment rouverte à l’aéroport Pearson. (Photo : GTAA, Kevin Prentice)

L’Autorité aéroportuaire du Grand Toronto (GTAA) – qui exploite l’aéroport international Pearson – a procédé à la réouverture de la piste 06L/24R après huit mois de réhabilitation.

Il s’agit de la deuxième piste la plus fréquentée de l’aéroport. L’aéroport Peason (YYZ) conclut ainsi l’un des plus importants projets de son histoire : sa planification ayant commencé il y a plus d’un an et demi.

« Cette piste est une merveille d’ingénierie moderne, aussi étonnante soit-elle », a déclaré Deborah Flint, présidente et chef de la direction de la GTAA. « Cela ouvre la voie aux 30 prochaines années où YYZ stimulera l’économie canadienne en facilitant le commerce, l’investissement étranger direct, le tourisme et les affaires. »

(Photo: GTAA, Kevin Prentice)

Omar Alghabra, ministre fédéral des Transports, s’est joint à Mme Flint pour la cérémonie d’inauguration avec les équipes de la GTAA responsables de la réhabilitation et des représentants de Dufferin Construction et d’Avia NG.

« En tant qu’aéroport le plus achalandé au Canada et l’un des plus achalandés en Amérique du Nord, le retour de cette piste à l’aéroport Pearson permettra aux passagers aériens de se déplacer en toute sécurité et en douceur à l’intérieur et à l’extérieur de la région du Grand Toronto (RGT) », a commenté M. Alghabra. Le financement du programme des infrastructures essentielles des aéroports du gouvernement fédéral accordé à Pearson plus tôt cette année a aidé à financer le projet.

Construite pour la première fois dans les années 1960, la piste 06L/24R de 3 km devait être entièrement reconstruite en raison de l’usure de sa sous-structure en béton, due aux conditions météorologiques, à l’utilisation et au temps. La GTAA note que ce projet prolonge la durée de vie de la piste de 30 ans, et qu’il permet d’améliorer la sécurité des activités à Pearson.

Soulignant certains efforts en faveur de l’environnement, la GTAA explique que le béton de la piste d’origine a été concassé et réutilisé pour la nouvelle piste, tandis qu’une centrale à béton sur site a permis de réduire le transport du béton par camions. Deux des trois finisseuses de 12 pieds en service au Canada ont été utilisées pour la réhabilitation, par souci écologique et d’efficacité. De plus, 1800 ampoules à incandescence seront remplacées par des ampoules à DEL.

Rapport de la GAMA sur les livraisons d’aéronefs au troisième trimestre

L’Association américaine des constructeurs d’appareils d’aviation générale (GAMA) a publié son rapport sur les livraisons et les facturations d’aéronefs d’aviation générale (AG) pour le troisième trimestre 2022. Les résultats de l’industrie de la construction aéronautique pour les neuf premiers mois de 2022, par rapport à la même période en 2021, indiquent une augmentation des livraisons d’aéronefs dans tous les segments ainsi qu’une augmentation de leur valeur globale.

« La demande d’aéronefs de l’AG reste robuste, alors que notre industrie continue de relever stratégiquement les défis actuels, notamment les problèmes de chaîne d’approvisionnement et les pénuries de main-d’œuvre au sein de notre secteur et de celui des autorités de réglementation mondiales », a déclaré Pete Bunce, président et chef de la direction de la GAMA. « Les livraisons convergent vers, et dans certains cas dépassent, les niveaux que nous connaissions avant la pandémie, ce qui témoigne de la force de notre industrie et de l’importance de l’aviation générale et d’affaires. »

« Alors que nous nous tournons vers l’avenir, nous devons nous concentrer sur la nécessité de former le personnel de réglementation et de tirer parti des accords de sécurité bilatéraux entre les organismes de réglementation pour améliorer à la fois les processus de certification et de validation », a poursuivi M. Bunce. « Dans le même temps, notre industrie continuera de favoriser l’élan que nous avons créé pour résoudre les problèmes environnementaux, ce qui comprend l’avancement des technologies qui permettent d’améliorer l’efficacité des aéronefs et des activités, ainsi que le soutien de la production, la distribution et l’adoption du carburant d’aviation durable (SAF). »

Les livraisons d’avions au cours du troisième trimestre de 2022, par rapport à la même période en 2021, ont augmenté de 8,8 % pour les modèles à pistons (1012 unités), de 7,3 % pour les turbopropulseurs (383 unités) et de 1,8 % pour les avions à réaction d’affaires (446 unités). La valeur des livraisons des avions au troisième trimestre de 2022 était de 14,1 milliards de dollars américains (G$ US), soit une augmentation d’environ 4,8 %.

Les livraisons d’hélicoptères au cours du troisième trimestre de 2022, par rapport à la même période en 2021, ont augmenté de 3,8 % pour les modèles à pistons (137 unités) et de 7,1 % pour les modèles à turbine (439 unités).

(Image: GAMA)

Super Petrel lance la nouvelle série XP

Résultat de sept années de conception et de développement – offert en 2023.

Super Petrel USA inc. – le plus important distributeur mondial de l’avion Super Petrel LS produit par Scoda Aeronautica – a annoncé que le nouveau modèle Super Petrel XP sera offert en 2023.

L’avion amphibie sport léger Super Petrel a vu le jour au Brésil en 2002. Près de 400 variantes du modèle original ont été vendues depuis. Le modèle Super Petrel XP sera équipé d’un moteur 912is Rotax ou Turbo 915is Rotax.

Super Petrel USA fait valoir que la nouvelle série XP est le résultat de sept années de conception et de développement.

(Photo: Super Petrel USA)

Ottawa octroie un autre 10 M$ pour l’aéroport Jean-Lesage

CYQB recevra plus de 10 millions de dollars (10 M$) dans le cadre du Programme des infrastructures essentielles des aéroports de Transports Canada (TC) pour reconstruire la piste 29 et restaurer des voies de circulation, ainsi que pour effectuer des modifications aux zones d’accès et de contrôle de l’aéroport réservées aux mouvements des passagers.

« L’aéroport international Jean-Lesage de Québec est une plaque tournante importante en matière de transport, non seulement pour Québec, mais aussi pour une bonne partie du nord et de l’est de la province », a fait valoir Jean-Yves Duclos, ministre de la Santé et député de Québec.

En plus du financement de ces projets d’infrastructures, le gouvernement du Canada a versé plus de 4,2 M$ à l’aéroport en 2021 dans le cadre du Fonds d’aide pour les aéroports de TC pour l’aider à poursuivre ses activités.

« Alors que les Canadiens sont prêts à voyager de nouveau et qu’ils sont de plus en plus nombreux à s’envoler de l’aéroport Jean-Lesage, il est primordial que nous puissions leur offrir des infrastructures et des services de qualité, efficaces et sécuritaires », a indiqué Stéphane Poirier, PDG de CYQB. « Ce financement nous permettra d’investir dans des projets d’infrastructures clés afin de répondre à la croissance du trafic aérien, de bien jouer nos rôles de plaque tournante et de moteur du développement socio-économique pour la grande région de Québec et tout l’est du Québec. »

(Photo: Harfang)

Décès du pionnier de l’aviation Frank Robinson

Pionnier de l’industrie des hélicoptères et fondateur de la Robinson Helicopter Company, Frank Robinson est décédé le 12 novembre à son domicile de Rolling Hills en Californie.

M. Robinson est décrit par la société qui porte son nom comme « un homme qui n’était pas motivé par la récompense ou les éloges, mais plutôt par une vision qui a redéfini le secteur et qui a changé à jamais l’aviation générale ».

On se souviendra de M. Robinson pour la conception et la fabrication des modèles d’hélicoptères R22, R44 et R66, lesquels continuent de figurer parmi les hélicoptères les plus populaires au monde en raison de leur simplicité et de leur fiabilité.

L’entreprise indique que la fascination de Frank Robinson pour les hélicoptères a commencé en 1939, à l’âge de neuf ans, lorsqu’il a vu dans le Seattle Post-Intelligencer une photo d’Igor Sikorsky faisant planer son hélicoptère VS-300, une image qui l’a captivé et a tracé le chemin de sa vie.

Il a obtenu un baccalauréat ès sciences en génie mécanique de l’Université de Washington, puis il a suivi les cours de l’école d’ingénieurs aéronautiques de l’Université de l’État de Wichita. Sa carrière a commencé à la fin des années 1950 chez Cessna et s’est poursuivie tout au long des années 1960 au service de nombreuses entreprises aérospatiales de premier plan, dont Bell et Hughes.

En 1973, à l’âge de 43 ans, il démissionne de son poste chez Hughes et fonde Robinson Helicopter Company chez lui à Palos Verdes en Californie, pour construire un hélicoptère simple et personnel. Six ans plus tard, après avoir surmonté d’énormes obstacles, M. Robinson a obtenu la certification de la FAA pour son hélicoptère R22 à deux places propulsé par un moteur à pistons. La compagnie d’hélicoptères inconnue à l’époque a livré son premier modèle R22 en octobre 1979. En 1989, le R22 s’était taillé une place dans le secteur de l’aviation générale, ouvrant ainsi un marché jusque-là inexploité pour la propriété d’hélicoptères privés.

Au début des années 1990, M. Robinson a lancé le R44, un hélicoptère léger de taille moyenne à quatre places propulsé par un moteur à pistons. La compagnie mentionne qu’elle a rapidement accumulé les commandes pour le R44, et elle est devenue un acteur reconnu dans l’industrie de l’aviation. En 2010, M. Robinson a une fois de plus élargi sa gamme d’appareils avec le R66, un hélicoptère à turbine de cinq places.

M. Robinson a pris sa retraite en 2010 à l’âge de 80 ans. Aujourd’hui, l’entreprise poursuit ses activités sous la direction de Kurt Robinson, le fils de Frank Robinson, et a livré plus de 13 000 hélicoptères dans le monde à ce jour.

(Photo : Robinson Helicopter)

Investissements d’Ottawa dans quatre aéroports des T.N.-O.

Le 15 novembre, le ministre des Transports du Canada, Omar Alghabra, a annoncé que le gouvernement fédéral investira d’importantes sommes dans la sécurité d’aéroports locaux et régionaux aux Territoires du Nord-Ouest (T.N.-O.). En effet, dans le cadre du Programme d’aide aux immobilisations aéroportuaires de Transports Canada (TC), quatre aéroports aux T.N.-O. recevront plus de 1,5 million de dollars (M$) pour l’acquisition d’équipement essentiel à la sécurité qui servira à l’enlèvement et au contrôle de la glace et de la neige sur les surfaces côté piste, telles que les pistes, les voies de circulation et les aires de trafic.

Voici la liste des aéroports qui recevront des fonds : Fort Simpson pour l’achat d’un camion chasse-neige 4×4 (420 000 $); Hay River pour l’achat d’une niveleuse (410 000 $); Inuvik pour l’achat d’un chargeur (381 425 $); Yellowknife pour l’achat d’une balayeuse (314 500 $), d’un camion chasse-neige 4×4 (357 000 $) et d’une remorque de dégivrage (89 250 $).

Ces investissements s’ajoutent aux fonds de plus de 19,8 M$ versés en mai 2021 dans le cadre du Programme pour des projets liés à la sécurité aux aéroports de Fort Simpson, de Fort Smith, et de Yellowknife.

« Les aéroports de Fort Simpson, d’Inuvik, de Hay River et de Yellowknife sont tous d’une importance cruciale pour les entreprises et les personnes vivant dans les régions de ces aéroports », a indiqué Michael McLeod, député des T.N.-O. « Ces investissements dans l’équipement de sécurité aideront à assurer la continuité des opérations aéroportuaires sécuritaires et fiables. »

(Photo : Gordon Leggett)

L’ÉNA dans la course pour le développement d’avions électriques

— By Sylvain Daignault, Initiative de journalisme local, Le Courrier du Sud

Des avions électriques bientôt dans les cieux? C’est à cet ambitieux projet que collaborent le Centre technologique en aérospatiale (CTA) et l’École nationale d’aérotechnique (ÉNA) du cégep Édouard-Montpetit de Longueuil.

La réalisation du projet de conversion d’appareils en avions électriques est menée en collaboration avec l’entreprise de haute technologie et leader mondial en formation de pilotes, CAE, et par l’avionneur floridien Piper Aircraft.

Cette initiative vise à développer, pour les Piper Archer déjà en service, une trousse de conversion qui sera approuvée par Transports Canada et la Federal Aviation Administration, ainsi qu’à mettre en marché une version électrique de cet appareil. Un avion d’entraînement existe déjà et peut voler durant un peu plus d’une heure.

Plusieurs enjeux

Francis Archambault, directeur général du CTA, a bien voulu répondre aux questions du Courrier du Sud concernant ce projet de recherche appliquée qui regroupe une grande variété de chercheurs, que ce soit dans le domaine de l’intelligence artificielle, de la mécanique ou de l’électricité.

«Outre le poids et la taille des batteries, il faut travailler sur la résistance au froid. En vol, on perd deux degrés par 1000 pieds d’altitude. À 20 000 pieds, on est rendu à -40 degrés!»

– Francis Archambault, directeur général du Centre technologique en aérospatiale (CTA)

«L’intégration de notre moteur électrique avec les autres systèmes de l’appareil constitue un autre défi de taille, ajoute celui pour qui le Québec est bien positionné pour ce type de projet. On peut aller du minerai à la batterie au Québec.»

Le CTA et l’ÉNA au cœur de la transformation

Le CTA, de concert avec l’ÉNA, contribuera stratégiquement au changement du système de propulsion électrique de l’avion de test.

«Des enseignants de l’École nationale d’aérotechnique, notamment les experts en propulseurs, assisteront l’équipe de recherche du CTA. Ils développeront ainsi une meilleure connaissance de la motorisation électrique et des enjeux liés au remplacement des moteurs thermiques à pistons par des moteurs électriques. Les professeurs pourront intégrer ces savoirs à leur enseignement, formant ainsi une relève de techniciens capables de travailler sur les moteurs les plus écologiques», relève de son côté Pascal Désilets, directeur de l’ÉNA.

Marc St-Hilaire, vice-président, Technologie et Innovation chez CAE se réjouit de cette association.

«Nous sommes heureux de collaborer avec le CTA et l’ÉNA, deux institutions de calibre mondial qui appuieront le programme de modification des avions électriques de CAE et contribueront à façonner l’avenir de l’aviation durable», affirme-t-il.

Le CTA profitera de l’occasion pour enrichir le savoir sur les systèmes de propulsion électrique et poursuivra la recherche et le développement dans ce domaine crucial. De plus, l’ÉNA pourra pour sa part former des techniciens capables de travailler sur ces nouveaux moteurs et offrir une formation d’appoint aux techniciens déjà sur le marché du travail.

Vers de plus gros porteurs ?

Pourrait-on un jour voir voler dans le ciel des avions de 50 ou 60 passagers complètement électriques? «On peut penser à des modèles hybrides électriques qui fonctionneraient avec des carburants écologiques», avance le directeur général du CTA.

Approbation à venir

Si on présentait demain la trousse fonctionnelle aux autorités compétentes, M. Archambault est d’avis que Transports Canada et la FAA mettraient un ou deux ans à l’approuver. «La raison est simple: l’expertise est en train de se construire dans ce domaine», souligne-t-il..

(Photo : Piper Aircraft)

L’aéroport municipal de Drumheller attire plus de 1000 aéronefs par année

Les événements aéronautiques qui ont eu lieu à l’aéroport municipal de Drumheller en 2021 ont attiré plus de 200 aéronefs et des centaines de spectateurs. (Photo : Lacie Nairn)

― Par Lacie Nairn, journaliste à l’Initiative de journalisme local, DrumhellerMail.com

L’aéroport municipal de Drumheller a subi plusieurs améliorations depuis 2021, et les pilotes locaux et de passage reconnaissent les efforts déployés par leurs commentaires positifs.

En avril 2021, le Mail a rapporté que les nouveaux gestionnaires de l’aéroport, Patrick et Catherine Bonneville, espéraient relancer les installations, susciter l’intérêt et faire positionner l’aéroport comme une porte d’entrée vers la communauté.

Lors de la séance ordinaire du conseil de Drumheller le lundi 7 novembre, Mme Bonneville a rapporté les chiffres relatifs à l’achalandage de l’aéroport : « plus de 1000 aéronefs de passage par an ». Parmi ceux-ci, plus de 70 % transportent des visiteurs récurrents, et environ la moitié d’entre eux passent au moins une nuit en hébergement. De plus, environ trois avions sur cinq achètent du carburant, et les passagers d’environ un aéronef sur six visitent la ville de Drumheller.

Il y a également eu des événements aéronautiques, lesquels ont attiré à la fois des membres de la communauté de l’aviation générale (AG) et des résidents de Drumheller et des environs.

L’aéroclub Alberta Aerobatics Club s’est entraîné au-dessus de l’aéroport municipal en juillet 2021, et Elevate Aviation – un organisme à but non lucratif basé à Edmonton qui soutient les femmes et les jeunes qui souhaitent faire carrière dans l’aviation – a organisé un événement aérien à la fin du mois d’août 2021. Ces événements ont attiré plus de 200 aéronefs visiteurs, ainsi que des centaines de spectateurs, sans oublier des entreprises commerciales potentielles.

En mai 2022, le Mail a rapporté que Jack Paquette d’Air Pocket Adventures avait envisagé d’utiliser l’aéroport municipal de Drumheller comme sous-base d’entraînement au pilotage. Bien que cette intention n’ait pas encore été concrétisée, elle pourrait prochainement devenir réalité, surtout avec les récentes améliorations apportées à l’aéroport en matière de pavage et d’éclairage.

Rappelons que l’aéroport a été fermé pendant une période de six semaines entre juin et juillet derniers pour permettre le repavage de la piste et des voies adjacentes. C’est en avril 2022 que le conseil de Drumheller a attribué le projet à Border Paving Ltd pour un montant total de 1 314 442,38 $. Le gouvernement de l’Alberta a soutenu 75 % du projet par l’entremise du Programme stratégique d’infrastructure des transports – Programme d’aéroport communautaire (STIP-CAP). La Ville s’est acquittée de l’autre 25 %.

À l’époque, la Ville a reporté l’attribution de la partie éclairage du projet en raison de coûts supérieurs à 200 000 $ par rapport au budget approuvé. En mai, la mairesse de Drumheller Heather Colberg et le directeur général Darryl Drohomerski ont fait pression sur le gouvernement provincial pour obtenir un financement supplémentaire pour plusieurs projets, y compris l’éclairage de l’aéroport.

Peu de temps après, une lettre a été reçue du ministre des Transports de l’Alberta, Prasad Panda, informant la ville que leurs efforts avaient porté fruit et qu’un financement supplémentaire avait été octroyé pour le projet.

Le projet d’éclairage a été confié à Border Paving en octobre 2022 pour un montant de 336 650 $. Des travaux de remplacement du système d’éclairage vieillissant par un système à DEL moderne sont en cours. Ils devraient être terminés d’ici la mi-janvier 2023. Cela permettra à l’aéroport de reprendre ses activités nocturnes, après une interruption d’environ quatre ans.

Parallèlement à la réhabilitation nécessaire de la piste et de l’éclairage, des rénovations ont également été apportées à l’aérogare, y compris l’amélioration de la connectivité Internet et l’aménagement de salles de réunion.

Le conseil de Drumheller a approuvé un nouveau barème de frais pour l’aéroport lors de la séance du 7 novembre, afin d’assurer l’autosuffisance des installations.

Vol en Cessna autour de la Tour CN pour contrer la maltraitance des aînés

Mike Bremner, pilote de jet d’affaires et privé, chef de vol de la Elder Abuse Air Force. (Photo: E.A.A.F.)

Les 83 circuits du 12 novembre visent à amasser des fonds pour combattre la maladie d’Alzheimer et sensibiliser les gens aux mauvais traitements infligés aux personnes âgées.

Elder Abuse Awareness Flight (EAAF – Vol de sensibilisation à la maltraitance des aînés), maintenant connu sous le nom d’Elder Abuse Air Force, prévoit d’établir un record mondial en tournant 83 fois autour de la Tour CN dans la matinée du samedi 12 novembre. L’objectif de l’événement est d’amasser des fonds pour la Société Alzheimer du Canada.

Parrainé par Home Instead et Stay At Home Nursing Niagara, le vol débutera à 9 h 00 le samedi. Il sera diffusé en direct depuis le poste de pilotage sur la page Facebook d’Elder Abuse Awareness Flight.

Mike Bremner, directeur de l’EAAF, prévoit de faire 83 circuits autour de la Tour CN dans un avion Cessna 172. Cela établira un nouveau record du monde de trajet circulaire autour d’une structure fixe. Originaire de Toronto, M. Bremner est capitaine d’avion d’affaires et entrepreneur dans le domaine des médias.

À 13 h 00, une formation de trois avions de la Canadian Harvard Aircraft Association (CHAA) rejoindra Mike pour les deux cercles finaux autour de la Tour CN. « Les avions Harvard utilisés pour former les pilotes pendant la Seconde Guerre mondiale s’avèrent représentatifs de notre génération d’aînés : la génération que nous avons le devoir de protéger », a déclaré Mike Bremner.

Des dons associés à ce vol peuvent être faits à la Société Alzheimer du Canada.