Aéroport de Valleyfield – Une alternative de choix pour les pilotes de Les Cèdres

— Par Jocelyne Laberge, Aéroclub de Valleyfield (Photo: François Audette)

À la suite de l’annonce de la fermeture de l’aéroport Les Cèdres (CSS3) en mai prochain, l’aéroport de Valleyfield (CSD3) offre d’accueillir les pilotes cherchant à se relocaliser.

Cette nouvelle a consterné toute la communauté des pilotes. Le monde de l’aviation générale est en deuil, d’autant plus qu’il s’agit du deuxième aéroport qui ferme ses portes dans la région de Montréal en un peu plus de cinq ans, après celui de Mascouche en novembre 2016.

Afin d’offrir une alternative de qualité aux pilotes de Les Cèdres, le conseil d’administration de l’aéroport de Valleyfield (CSD3) a agi proactivement pour ajouter de nouvelles places au plan de développement, permettant ainsi d’accueillir les pilotes cherchant un nouvel endroit pour leur aéronef.

Situé à 9 milles nautiques de Les Cèdres, l’aéroport dispose d’une piste de 2800 pieds de longueur et de 50 pieds de largeur (20 pieds asphaltés). La piste est éclairée avec un système ARCAL permettant le vol de nuit. L’entretien de la piste 12 mois par année permet le vol hivernal. Des stationnements extérieurs sont disponibles à 400 $ par année. La location au mois ou à la semaine est aussi offerte. L’implantation de dômes et de hangar est possible avec une entente superficiaire à partir de 725 $ par année.

Un pavillon a été installé en 2021 (FBO et salle de rencontre) et une toilette écologique sera ajoutée au printemps 2022. L’aéroclub compte actuellement environ 30 membres et deviendra prochainement un Club COPA.

N’hésitez pas à nous contacter et joignez-vous à notre communauté !

Tél. : 450-802-0344
Courriel : executifcsd3@gmail.com

Ottawa publie des propositions législatives en vue d’instaurer la taxe de luxe

Les Canadiens sont invités à faire part de leurs commentaires sur ces propositions législatives d’ici le 11 avril 2022. Entrée en vigueur estimée : le 1er septembre 2022.

Dans le budget fédéral de l’année dernière, le gouvernement a proposé d’instaurer une taxe sur la vente au détail de voitures de luxe neuves et d’aéronefs neufs à un prix supérieur à 100 000 $, et de bateaux neufs à un prix supérieur à 250 000 $. La taxe serait calculée selon le moins élevé des deux montants suivants : 20 % de la valeur qui dépasse le seuil de prix applicable ou 10 % de la valeur totale de la voiture de luxe, de l’aéronef ou du bateau. Sous réserve de l’approbation du Parlement, cette taxe entrerait en vigueur le 1er septembre 2022.

Pour mettre en œuvre cet engagement, le gouvernement a rendu publiques le 11 mars 2022 – à des fins de consultation – des propositions législatives préliminaires, lesquelles rendent compte des commentaires qui ont été reçus pendant les consultations avec les intervenants.

Le gouvernement indique que ces propositions législatives préliminaires s’appuient sur le document d’information publié le 10 août 2021 – dans le cadre d’une consultation sur la taxe de luxe proposée – et le remplacent.

Voici deux nouvelles dispositions importantes figurant dans ces propositions législatives préliminaires : accorder un allègement aux améliorations après-vente apportées aux voitures, aux aéronefs ou aux bateaux achetés en dessous du seuil de prix visé; et élargir l’allègement pour les aéronefs afin de tenir compte des vols admissibles effectués dans le cadre de l’exploitation d’une entreprise avec une attente raisonnable de profit.

Les Canadiens sont invités à faire part de leurs commentaires sur ces propositions législatives préliminaires d’ici le 11 avril 2022, en envoyant un courriel à fin.luxury-luxe.fin@fin.gc.ca.

(Photo : Adobe Stock)

MFC Training revient à Happy Valley-Goose Bay en 2022

Le 14 mars, MFC Training – réputée être la plus grande école de pilotage professionnelle au Canada – a annoncé son retour saisonnier à l’aéroport de Goose Bay au Labrador en 2022. S’appuyant sur le succès de son premier cours l’an dernier, MFC Training indique qu’elle offrira de nombreux programmes de formation modulaire. Les futurs pilotes du Nord canadien pourront ainsi tirer parti d’un accès encore plus entendu à des options de formation de classe mondiale.

« Nous sommes fiers de revenir à Happy Valley-Goose Bay en 2022 avec une panoplie d’options de formation pour les futurs étudiants », a déclaré Blair Springate, vice-président de la formation chez MFC Training. « Nous sommes également ravis de revoir des visages familiers, alors que des étudiants de l’année dernière poursuivent leur formation au pilotage. »

MFC Training exploite ses activités à Moncton au Nouveau-Brunswick. L’entreprise a été fondée en 1929 sous la dénomination Moncton Flying Club. Aujourd’hui considérée comme l’une des écoles de formation au pilotage les plus expérimentées du Canada, MFC Training forme entièrement plus de 350 pilotes commerciaux chaque année pour de nombreuses compagnies aériennes du monde. Grâce à sa flotte de plus de 50 aéronefs, MFC Training est en mesure d’offrir tous les niveaux de formation au pilotage (marchés nationaux et internationaux) : des programmes pour pilote amateur à ceux pour pilote professionnel et instructeur.

Les activités de formation à l’aéroport de Goose Bay commenceront le 16 mai prochain et se poursuivront jusqu’au 16 septembre. Deux instructeurs à temps plein, un instructeur superviseur et deux avions Diamond DA-20 seront mis à contribution. Les options de formation incluent l’obtention d’une licence de pilote privé ou d’une qualification de nuit, ainsi que le démarrage d’un cours complet en vue d’obtenir une licence de pilote professionnel.

(Photos : MFC Training)

Ottawa fournit 142 M$ pour l’infrastructure de Toronto Pearson

Le 14 mars, le ministre des Transports du Canada, Omar Alghabra, a annoncé un nouveau financement pour aider l’aéroport international Toronto Pearson à se remettre des répercussions de la pandémie de COVID-19. Ce financement permettra aussi d’appuyer la continuité des services aériens et les projets importants liés à l’infrastructure de transport à l’aéroport.

L’aéroport recevra plus de 142 millions de dollars (M$) dans le cadre du Programme des infrastructures essentielles des aéroports de Transports Canada (TC) pour la réfection de la chaussée du terrain d’aviation; la conception et l’installation de nouveaux systèmes d’enregistrement, d’embarquement et de contrôle frontalier; le dépistage et le contrôle de la COVID-19 chez les passagers et les employés; et la réalisation d’études techniques et de travaux de conception pour un lien proposé entre l’aéroport et l’extension future de la ligne de train léger sur rail Eglinton Crosstown.

« Alors que nous allons de l’avant avec le retour graduel et sécuritaire des activités du secteur de l’aviation d’une manière qui continue de favoriser la santé, la sécurité et la sûreté de tous les Canadiens, il est impératif de continuer à veiller à ce que le secteur aérien canadien reste dynamique et concurrentiel », a déclaré M. Alghabra. « Ces investissements cruciaux permettront à l’aéroport international Toronto Pearson d’investir dans l’infrastructure et les outils nécessaires pour aider à redynamiser le secteur de l’aviation et permettre aux Canadiens de se sentir en sécurité lorsqu’ils voyagent. »

Le Programme des infrastructures essentielles des aéroports – lancé en mai 2021 – versera 571,2 M$ sur cinq ans aux aéroports pour financer des projets d’infrastructure admissibles liés à la sécurité, à la sûreté, à la connectivité des réseaux de transport en commun ou au dépistage et au contrôle de la COVID-19 et de ses variants.

« Cet investissement dans l’infrastructure de Toronto Pearson nous permettra de mieux nous positionner pour créer l’aéroport dont le Canada a besoin, alors que le pays se remet de la pandémie de COVID-19 : un aéroport qui soutient les chaînes d’approvisionnement, le commerce, les emplois et le développement économique de façon durable et novatrice », a fait valoir Deborah Flint, présidente et directrice générale de l’Autorité aéroportuaire du Grand Toronto.

(Photo : Adobe Stock)

Safran et Bell accentuent le virage des carburants durables pour l’aviation

Le 9 mars dernier, Safran Helicopter Engines et Bell Textron inc. ont annoncé la signature d’un partenariat pour évaluer l’utilisation de carburant durable pour l’aviation (SAF) sur le Bell 505 propulsé par un moteur Arrius 2R, lequel aéronef s’avère principalement construit dans les installations de Bell Textron Canada à Mirabel au Québec. Un exemplaire de cet hélicoptère sera utilisé explicitement pour des vols alimentés avec un mélange de SAF.

Bell et Safran Helicopter Engines évalueront les données de performances des moteurs et des aéronefs afin de mieux évaluer les avantages collatéraux associés à l’incorporation des SAF.

« Nous croyons beaucoup aux carburants durables pour l’aviation, lesquels permettent de réduire considérablement les émissions de CO2 », a fait valoir Bruno Bellanger, directeur des Programmes chez Safran Helicopter Engines. « Comme tous nos moteurs d’hélicoptères, l’Arrius 2R est déjà certifié pour fonctionner avec un mélange contenant jusqu’à 50 % de SAF. Nous sommes prêts à aider tous les exploitants de Bell 505 du monde dans leur transition vers ces carburants écologiques qui offrent une solution de rechange aux carburants fossiles traditionnels ».

Safran a annoncé publiquement son objectif de certifier dans les années à venir l’utilisation à 100 % de SAF. Ce qui, selon l’entreprise, permettrait potentiellement de réduire les émissions de CO2 jusqu’à 80 %. En 2021, Safran a réalisé avec succès une campagne d’essais au sol d’un Makila 2 fonctionnant avec 100 % de biocarburant, ce qui a donné lieu à des essais en vol concluants.

Depuis juin dernier, Safran Helicopter Engines utilise du carburant durable sur l’ensemble de ses sites en France : dans un premier temps à hauteur de 10 %, avec un objectif de 50 % d’ici 2025. Le motoriste a également commencé à utiliser du SAF sur son site de Fareham au Royaume-Uni.

(Photo : Bell Textron, Safran)

L’aéroport de Charlottetown admissible au PAIA

Dans le cadre du Programme d’aide aux immobilisations aéroportuaires (PAIA) de Transports Canada, le gouvernement du Canada versera plus de 1,4 million de dollars (M$) à l’aéroport de Charlottetown pour le remplacement de clôtures de contrôle de la faune et l’achat d’une balayeuse de piste ainsi que d’un deuxième véhicule de sauvetage et de lutte contre les incendies d’aéronefs.

« L’aéroport de Charlottetown s’avère une plaque tournante importante pour les résidents et les exploitants d’entreprises de la province », a déclaré Sean Casey, député de Charlottetown, qui a fait l’annonce au nom du ministre des Transports, Omar Alghabra. « Cet investissement aidera à assurer les activités sécuritaires et fiables de l’aéroport pour les résidents de l’Île-du-Prince-Édouard. Beaucoup d’entre eux dépendent de leur aéroport local, non seulement pour les voyages personnels et d’affaires, mais aussi pour avoir accès à des soins médicaux de routine et d’urgence dans les plus grandes villes. »

Ce financement s’ajoute aux fonds de plus de 1,5 M$ qui ont été versés à l’aéroport en mai 2021 dans le cadre du PAIA pour le remplacement de panneaux de l’aire de trafic côté piste et l’achat d’un véhicule de sauvetage et de lutte contre les incendies d’aéronefs.

Depuis la mise en place du Programme d’aide aux immobilisations aéroportuaires en 1995, le gouvernement du Canada a investi plus de 1,2 milliard de dollars (G$) afin d’appuyer 1215 projets dans 199 aéroports locaux, régionaux et plus petits du Réseau national d’aéroports partout au pays.

(Photo : Charlottetown Airport)

Il est temps de rouvrir d’autres aéroports d’entrée

— Par Fadi El Masry, directeur, relations externes, COPA

Nous avons été heureux de voir que le NOTAM restreignant les aéroports d’entrée a été levé le 28 février, nous espérions que cela signifiait que tous les emplacements CANPASS seraient réouverts. Malheureusement, plus de dix jours plus tard, et ce n’est toujours pas le cas.

Bien que d’autres aéroports soient ajoutés (92 aéroports à l’heure actuelle), nous n’avons pas vu le plan de mise en œuvre, en particulier pour les régions qui sont touchées de façon disproportionnée, comme les Prairies. La COPA a communiqué avec l’ASFC pour demander le plan de réouverture et plaider en faveur de la réouverture d’un plus grand nombre d’aéroports, en particulier CANPASS, dès que possible.

Sur les 48 aéroports d’entrée CANPASS, seuls 5 sont maintenant ouverts et sur les 65 aéroports d’aviation générale, seuls 29 sont ouverts. Les utilisateurs de CANPASS sont des voyageurs approuvés à faible risque, il est donc logique de rouvrir tous les aéroports CANPASS dès que possible afin d’accélérer le passage des frontières à travers le pays.

La COPA continuera de travailler avec l’ASFC et le ministère de la Sécurité publique afin de s’assurer que nos membres et les utilisateurs de CANPASS, qui sont des voyageurs de confiance, retrouvent ce service indispensable à travers le pays.

Maîtrisez votre OEPP avec Infinite Flight

— Par Jason Rosewell, Marketing numérique, Infinite Flight

Si vous êtes comme la plupart des pilotes modernes, votre sac de vol comprend au moins un appareil mobile chargé avec la dernière OEPP. Bien qu’ils soient puissants et permettent de gagner du temps, ces produits peuvent être assez complexes, et le cockpit n’est pas un endroit pour apprendre à les utiliser. Heureusement pour les utilisateurs de ForeFlight et Garmin Pilot, Infinite Flight vient à la rescousse permettant aux pilotes de commencer un vol depuis la sécurité de leur canapé, ou le salon de l’aéroport.

Disons que vous êtes enthousiaste à l’idée de tester une nouvelle fonctionnalité comme le Hold Advisor dans ForeFlight. Vous regardez la vidéo de formation mais vous n’avez pas de mémoire musculaire pour utiliser cette fonction parce que vous ne volez pas. N’ayez crainte. En activant ForeFlight Link sur votre appareil Infinite Flight, vous pouvez maintenant l’utiliser de la même manière que dans l’avion, à condition que vous soyez sur le même réseau wifi.

ForeFlight Link envoie les données GPS et AHRS à ForeFlight ou Garmin Pilot comme si vous étiez dans un vrai cockpit. Et si vous pouvez certainement faire cela avec votre simulateur de bureau préféré, Infinite Flight vous a donné un moyen de vous exercer et de transporter votre passion pour l’apprentissage où que vous soyez. Mieux encore, vous pouvez utiliser Infinite Flight sur les appareils iOS et Android.

Ne laissez pas le nom « ForeFlight Link » vous effrayer si vous êtes un utilisateur de Garmin Pilot. Cette fonctionnalité a commencé comme un lien vers ForeFlight, mais a depuis été rendue compatible avec celle de Garmin. Localisez Flight Simulation dans les paramètres de Garmin Pilot pour activer l’utilisation des données du simulateur de vol.

Partage de plans de vol entre Infinite Flight et ForeFlight
L’entraînement au vol est désormais plus facile grâce au partage des plans de vol entre votre simulateur de vol mobile et ForeFlight. En quelques clics, vous pouvez envoyer des plans de vol entre les deux applications, en toute simplicité.

Infinite Flight dispose également d’un système Replay robuste. Ce système permet aux pilotes d’Infinite Flight et aux contrôleurs aériens de charger un vol précédent et de le reproduire exactement comme il s’est produit. Vous avez volé de nuit, mais vous voulez revoir votre vol de jour ? Pas de problème, il suffit de régler l’heure de la journée pendant la relecture. Mieux encore, vous pouvez répondre au vol autant de fois que vous le souhaitez en mode mains libres, tout en perfectionnant différentes compétences dans ForeFlight.

Bien qu’Infinite Flight PRO vous donne accès au globe entier, au multijoueur, à l’ATC et à tous les avions, vous n’avez pas besoin d’un abonnement pour profiter des avantages de la connexion à ForeFlight. Il y a beaucoup de régions et d’avions à apprécier avec votre achat initial pour vous aider à devenir un pro avec votre OEPP. Les membres de la COPA peuvent maintenant obtenir un essai gratuit de 90 jours d’Infinite Flight Pro, débloquant ainsi un monde entier de possibilités – plus d’informations sur cet avantage pour les membres de la COPA sont disponibles ici. Essayez Infinite Flight dès aujourd’hui, et continuez à apprendre !

(Photo : Infinite Flight)

Lauréates de la bourse Commandante-Judy-Cameron 2022

Air Canada a profité de la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars pour annoncer les lauréates 2022 de la bourse Commandante-Judy-Cameron.

L’entreprise souligne que cette bourse – nommée en hommage à la première femme pilote d’Air Canada – reconnaît les réalisations de jeunes femmes à fort potentiel qui souhaitent faire carrière dans les secteurs de l’aviation et de l’aérospatiale comme pilotes commerciales ou techniciennes d’entretien d’aéronef, et qui n’ont pas nécessairement les moyens financiers d’y parvenir.

« À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, nous célébrons et soulignons les réussites et les réalisations de plus de 14 500 femmes qui travaillent chez Air Canada à travers le monde », a déclaré Arielle Meloul-Wechsler, vice-présidente générale et chef des Ressources humaines et des Affaires publiques.

En avril 1978 (à l’âge de 23 ans), Judy Cameron a été la première femme pilote embauchée par Air Canada, le plus important transporteur aérien du pays. En 1975, elle fut la première femme à obtenir le diplôme en technologie de l’aviation du Collège Selkirk. Durant ses 40 ans de carrière et ses quelque 23 000 heures de vol, elle a piloté des appareils DC-3, Twin Otter, Hawker Siddeley 748, DC-9, Lockheed 1011, Airbus 320, Boeing 767 et Boeing 777.

En 2019, Air Canada s’est engagée à verser annuellement 20 000 $ pendant trois ans pour la bourse Commandante-Judy-Cameron, et elle a renouvelé en 2021 son soutien pour trois autres années. Administrée par la Northern Lights Aero Foundation, la bourse d’études s’adresse aux citoyennes canadiennes admises dans un programme d’études postsecondaires en pilotage (voilure fixe) dans un collège, une université ou une école de pilotage, ou encore dans un programme de réparation ou d’entretien d’aéronefs, partout au Canada.

Voici les lauréates de la bourse Commandante-Judy-Cameron de cette année, lesquelles recevront 5000 $ pour poursuivre leurs études dans le domaine de l’aviation :

Tanisha Galway
Étudiante de deuxième année en techniques d’entretien d’aéronef au College of the North Atlantic de Gander à Terre-Neuve, Tanisha est aussi présidente du conseil étudiant, membre du comité des politiques sur le harcèlement sexuel, représentante de l’association étudiante de son collège auprès de la direction provinciale de la Fédération canadienne des étudiants (un organisme où elle représente également les étudiants ayant une déficience).

Winnie Ho

Winnie vient de terminer le groupe 1 des règles de vol aux instruments (IFR) et termine le cours intégré de pilote de ligne au Waterloo Wellington Flight Centre, en plus d’être dans la dernière année du programme de sciences et d’aviation de l’Université de Waterloo en Ontario. Elle est adjointe à l’enseignement d’un cours d’introduction à l’aviation à l’Université et membre du jeune conseil d’administration de Northern Lights, faisant preuve de leadership pour inspirer, autonomiser et encourager les femmes dans les domaines de l’aviation et de l’aérospatiale. Son but ultime est d’être commandante de bord d’appareils 787 ou 777 de Boeing à Air Canada.

Alissa Stirling

Alissa en est à sa dernière année d’études en aviation commerciale de l’Université Mount Royal de Calgary en Alberta. Son travail d’agente de bord à Air Canada lui a donné envie de devenir pilote. Elle a terminé en trois mois sa licence de pilote privé pour réussir à s’inscrire au programme d’études. Alissa est présidente du conseil de direction des étudiants en aviation et est membre du comité sur le système de gestion de la sécurité de la section Alberta 99s, du British Columbia Aviation Council et de l’Alberta Aviation Council.

Madeline Ungurain

Madeline vient de terminer sa formation d’instructrice de vol à Principal Air d’Abbotsford en Colombie-Britannique, et prépare maintenant sa qualification de vol aux instruments pour avions multimoteurs. Elle est membre active des Ninety-Nines, une association internationale de femmes pilotes pour laquelle elle fait du bénévolat comme coordonnatrice des nouvelles. Elle y a créé une Foire aux questions internationale pour les nouveaux membres. En tant que mère monoparentale de jumeaux, elle a dû surmonter des obstacles de taille, mais elle n’a jamais renoncé à atteindre ses objectifs. Madeline prévoit travailler comme instructrice de vol aux instruments pour avions multimoteurs, partager son expertise avec d’autres et encourager les femmes à s’investir dans l’aviation.