Gala annuel de la Flight Safety Foundation

Le gala LIFT approche rapidement. Billets de gala d’admission générale maintenant disponibles.

Grâce aux généreux dons reçus pour le gala LIFT et la Flight Safety Foundation, nous avons émis des billets pour une admission générale. Joignez-vous à nous le 3 octobre 2019 à Calgary avec Chris Hadfield et Don Bell pour une soirée mémorable.

Célébrez l’aviation Canadienne et soutenez Flight Safety Foundation de COPA en assistant au gala. Tous les billets et toutes contributions sont éligibles à un reçu d’impôt.

Veuillez cliquer ici pour plus d’informations.

Le Service ambulancier de la Colombie-Britannique obtient un nouveau Bell 412

La ville de Kamloops, dans le centre-sud de la Colombie-Britannique, possède un nouvel hélicoptère Bell 412 EPI, fabriqué au Canada, qui s’ajoute à la flotte du BC Ambulance Service (BCAS). Summit Helicopters, de Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest, a récemment pris livraison de l’aéronef juste à temps pour répondre à ses exigences contractuelles avec l’agence provinciale de la C-B.

Propulsé par deux moteurs Pratt & Whitney Canada générant une puissance au décollage de 928 c-v, le 412 EPI a une vitesse de croisière maximale de 124 nœuds et une portée de 363 milles marins. L’endurance maximale est de 3,8 heures. Son plafond de vol stationnaire est de 11 400 pieds en effet de sol et de 6 700 pieds hors effet de sol.

« L’hélicoptère Bell 412 EPI de Kamloops est un aéronef à voilure rotative flambant neuf et à la fine pointe de la technologie. Nous sommes extrêmement heureux de desservir le service d’ambulances de la Colombie-Britannique dans le centre de la province», a déclaré Lane Zirnhelt, directeur des opérations de Summit Aviation Group. Summit fournit des ambulances hliportés au BCAS depuis plus de sept ans.

« Cet aéronef intègre les dernières avancées en matière de sécurité, une suite avionique intégrée avec un « glass cockpit » et des moteurs à commande électronique », a déclaré Steven Williams, pilote IFR de Summit Helicopters. « L’EPI offre des paramètres de performance et de sécurité considérablement accrues, nécessaires au rôle et au terrain difficiles dans lesquels nous évoluons », a ajouté M. Williams.

Le Summit 412 EPI est le deuxième du genre à être livré au Canada et le premier à un opérateur commercial. La première livraison a été faite à la Garde côtière canadienne.

photo soumise

Un aéro-parc aérien de l’Alberta menacé

L’Okotoks Air Ranch (CFX2), situé au sud de Calgary, en Alberta, reçoit un nombre croissant de plaintes en matière de bruit qui menacent de restreindre les activités de l’école de pilotage Calgary-Okotoks, voire même de la fermer, surtout depuis qu’un avion s’est récemment écrasé sur la piste d’atterrissage privée. L’accident survenu en août 2019 n’a causé aucune blessure à l’élève-pilote ni à l’instructeur.

L’aéro-parc est la pièce maîtresse d’un complexe immobilier en plusieurs phases, où de nombreuses maisons sont construites avec des hangars et bénéficient d’un accès direct à la piste asphaltée de 3 025 pieds. La présence de l’école de pilotage compense pour les coûts d’entretien de la piste.

« Ce qui me préoccupe, c’est que si cette école de pilotage et les autres entreprises opérant à cet endroit sont fermées, le terrain de l’aéroport pourrait potentiellement être transformé en zonage pour un logement ou un centre commercial, » a déclaré Chris Morgan, un résident.

Certains résidents de Drake Landing, situé à proximité, ont envoyé des lettres à la ville d’Okotoks demandant que des restrictions soient imposées sur les horaires d’ouverture de l’école. Toutefois, le maire de la ville, Bill Robertson, admet que la ville ne peut empiéter sur la compétence du gouvernement fédéral en matière aéronautique.

Certains résidents de l’aéro-parc ont lancé une pétition pour soutenir l’école de pilotage.

photo : Google Earth

Drones: municipalités vs gouvernement fédéral

Alors que les systèmes d’aéronefs télépilotés (SATP, ou drones) prolifèrent à travers le pays (estimation pour 2017 : 337 468), leur utilisation dans les zones urbaines et de banlieues retient l’attention des autorités municipales. Plusieurs ont déjà mis en place des règlements qui tentent de contrôler leur utilisation au sein de leurs frontières.

Voici des exemples de règlements actuellement en vigueur qui pourraient être appliqués aux opérations de drones :

  • Toronto (Ontario) : règlement municipal interdisant l’exploitation de « modèles réduits d’aéronefs, de roquettes, de motomarines ou de véhicules », à moins d’y être autorisé par un permis ;
  • Saskatoon (Saskatchewan) : règlement municipal interdisant l’utilisation de « modèles réduits d’aéronefs ou de véhicules aériens sans pilote » dans les parcs et les installations de loisirs, sauf autorisation contraire de la Ville ;
  • Richmond (Colombie-Britannique) : règlement municipal interdisant les avions modèles téléguidés, attachés ou même les planeurs réduits, dans les parcs publics ou les cours d’école.

Cependant, bon nombre de ces règlements empiètent sur la compétence du gouvernement fédéral à qui, en vertu de la Loi constitutionnelle de 1867, la compétence de l’aéronautique est attribuée exclusivement et pour laquelle les provinces (qui réglementent les niveaux de gouvernement municipal) n’ont aucun mot à dire.

Dans un arrêt de la Cour suprême du Canada appelé le cas Rothmans, il a été noté ce qui suit : « Lorsqu’il existe une incohérence entre les lois provinciales et fédérales validement adoptées mais qui se chevauchent, la législation provinciale est inopérante dans la mesure de l’incohérence ».

Étant donné qu’il n’existe aucune décision judiciaire sur cette question, il est possible que des batailles juridiques aient lieu. Entre-temps, les experts légaux conseillent aux exploitants de SATP de respecter les règlements municipaux, même s’ils semblent empiéter sur la compétence fédérale, car ils restent valables jusqu’à preuve du contraire.

photo par Martin Sánchez

Résultats du vote d’élection partielle de la Colombie-Britannique et du Yukon

Le vote pour l’élection partielle du conseil d’administration de 2019 en Colombie-Britannique et au Yukon s’est achevé le vendredi 13 septembre. Nous sommes heureux d’annoncer que Kate Klassen se joindra à l’équipe du conseil de direction de COPA en tant que directrice pour la Colombie-Britannique et le Yukon, aux côtés de l’actuel directeur David Black. Le mandat de Kate en tant que directrice commencera dès la ratification des résultats de l’élection partielle lors de la réunion du conseil d’administration de la COPA le 5 octobre prochain à Calgary.

Nous voudrions également exprimer nos sincères remerciements à Peter Lythall pour s’être présenté comme candidat. Nous avons bien hâté de travailler avec Peter, qui demeure actif dans la promotion de l’aviation générale, en particulier dans le nord de la Colombie-Britannique. Sans la volonté de nos membres de jouer un rôle actif au sein de notre organisation, la COPA ne serait pas en mesure de poursuivre son travail important pour l’aviation générale au Canada.

Nous voulons également remercier les membres d’avoir pris le temps de voter, que ce soit en ligne ou par bulletin de vote postal. Le taux de participation à l’élection partielle de cette année était de 13,45 pour cent.

Les bulletins de vote, en ligne et sur papier, ont été comptés et certifiés au bureau de la COPA par une équipe de membres-scrutateurs le mardi 17 septembre. Nous remercions pour leur contribution au processus Kevin Psutka et Earle DePass.

La COPA répond à TCAC à propos des hydroaérodromes

Dans une lettre détaillée à Transports Canada – Aviation civile, le président et chef de la direction de la COPA, Bernard Gervais, a répondu à un avis de proposition de modification (APM) de l’autorité de réglementation visant à modifier les critères utilisés pour déterminer si un hydroaérodrome devait être certifié ou non.

M. Gervais suggère que TCAC semble vouloir appliquer aux hydroaérodromes des lignes directrices similaires à celles élaborées spécifiquement pour la certification des aérodromes terrestres. Un élément clé de l’APM était la définition, ou l’absence de définition, de ce qui constitue une « zone bâtie » et de la manière dont elle serait appliquée lors de l’évaluation des hydroaérodromes.

Les autres points soulevés dans la lettre concernent des préoccupations concernant des seuils arbitraires qui déclencheraient une certification et le coût de la conformité.

COPA a parlé à TC et ils ont mentionné être heureux d’avoir reçu les commentaires de la COPA, d’autres associations et des parties prenantes. TC travaillera avec l’industrie pour voir à répondre aux préoccupations en matière de sécurité des passagers et du personnel aux hydroaérodromes.

Voir la lettre complète jointe ci-dessous pour plus d’informations.

Réponse COPA à TC sur APN

Où voler – vers l’ouest : High River, Alberta

Profitez de l’hospitalité de l’Ouest canadien au RVA – Déjeuner du Club COPA 81, qui aura lieu ce samedi 14 septembre à l’aéroport de High River (CEN4), dans le sud-ouest de l’Alberta. Les visiteurs sont invités par voie des airs et terre – ou même à monter à cheval – à l’événement.

Il y aura une foire commerciale et un tirage au sort. Une tirage moitié-moitié permettra de recueillir des fonds pour l’escadron des cadets de l’air local. L’entrée coûte 10 $ pour les adultes, 5 $ pour les enfants ou 20 $ pour toute la famille.

Une piste asphaltée de 4 150 x 75 pieds attend les pilotes qui arrivent par avion à l’aéroport de 3 431 ASL. Les carburants 100LL et JA-1 sont disponibles.

Envoyez un courriel au Foothills Flying Club pour plus d’informations.

Où voler – Vers l’est : St-Georges, Québec

Le Club COPA 46 sera l’hôte d’un RVA ce samedi 14 septembre (en cas de pluie : le 15 septembre) à 10 h 00 à l’aéroport de St-Georges (CYSG). Il y aura des prix à gagner, de la nourriture et des boissons seront disponibles sur le site et il y aura même une zone réservée pour les VR.

L’aéroport a une piste asphaltée de 5 112 x 75 pieds, et les carburants 100LL et JA-1 sont disponibles.

Composez le 418-221-3866 pour plus d’informations.

KF Aerospace organise des salons de l’emploi

KF Aerospace (KF), le plus important centre d’entretien, de réparation et de révision (ERR) au Canada, avec des bases à Hamilton (Ontario) et à Kelowna (Colombie-Britannique), organisera des salons de l’emploi à Hamilton (le jeudi 19 septembre) et à Kelowna (le jeudi 26 septembre).

KF prévoit une croissance de 40 pour cent au cours des trois à quatre prochaines années et doit combler plus de 100 nouveaux postes au cours de la seule année à venir en raison de l’achèvement de plus de 14 000 m2 (150 000 pieds carrés) de projets d’expansion entre leurs deux bases.

Des ouvriers qualifiés et expérimentés sont recherchés pour une variété de rôles. L’entreprise, basée à Kelowna, est également à la recherche de candidats pour des postes de débutants.

« Pour nos postes de débutants, nous proposons une formation en milieu de travail vous permettant de travailler à l’obtention d’une certification », a déclaré Susan van Unen, responsable des ressources humaines de KF, qui a ajouté que les candidats de tous les profils sont invités à postuler.

L’Okanagan College, qui dispose d’un centre de formation pour techniciens d’entretien d’aéronefs (AME) près de Kelowna à l’aéroport de Vernon, sera présent au salon de Kelowna pour fournir aux participants des informations sur leurs programmes.

Des visites guidées des installations de KF dans leurs deux bases seront également disponibles les jours des salons.

De plus amples informations sont disponibles sur le site Web de KF Aerospace (en anglais seulement).

Des aéroports le long de la côte sud de la C.-B. amélioreront leurs pistes

Deux aéroports de la côte sud de la Colombie-Britannique ont reçu cette année des fonds du gouvernement provincial pour l’amélioration de leurs pistes respectives.

L’aéroport de Powell River (CYPW), un aéroport certifié par Transports Canada (TC) offrant des vols réguliers (régionaux), a reçu 75% des 1,5 million de dollars nécessaires pour étendre la piste du côté ouest de 200 pieds afin de se conformer à une exigence de TC pour une aire de sécurité d’extrémité de piste (RESA).

« Cela n’affectera en rien les tâches quotidiennes de l’aéroport, mais la piste sera fermée la nuit », a déclaré le coordinateur de l’aéroport, Denis Dilworth.

Plus loin sur la côte, à Sechelt, l’aéroport de cette ville (CAP3) a également reçu un financement de plus d’un million de dollars grâce au programme BC Air Access Program (programme d’accès aérien du gouvernement provincial) pour le resurfaçage et l’extension de 700 pieds de la piste existante de 2 400 pieds.

L’aérodrome de Sechelt n’est pas certifié par TC, mais cela pourrait changer avec le conseil de ville récemment élu, dirigé par la mairesse Darnelda Siegers. Bien qu’elle ne puisse pas commenter aujourd’hui, elle a déclaré publiquement qu’elle souhaitait que l’aéroport de Sechelt soit amélioré au point d’attirer un service régulier similaire à celui de Powell River.

Photo ci-dessus: aéroport de Sechelt