Un nouveau musée québécois reçoit un Canuck

Un autre Avro CF-100 Canuck fait les manchettes cette semaine puisque le Musée de l’aérospatiale du Québec (MAQ) accueille l’ancien chasseur à réaction de l’ARC, immatriculé 100760. Cet avion âgé de 60 ans, prêté au musée de Saint-Hubert par le Musée canadien de la guerre à Ottawa, est arrivé par camion lundi.

« Cet avion revêt un caractère patrimonial indéniable pour l’aéroport de Saint-Hubert », a déclaré le directeur général de MAQ, Pierre Gillard. « En effet, c’est lui qui avait été utilisé à l’époque par Pratt & Whitney Canada pour effectuer les essais en vol du moteur JT15D. Il était, dès lors, normal qu’il devienne le premier aéronef de notre futur musée.

« Nous espérons pouvoir remettre cet avion historique en état de présentation statique dans la configuration dans laquelle il était lors des essais en vol du JT15D, c’est-à-dire, avec un le moteur monté dans une nacelle située sous le fuselage » a ajouté Gillard.

Le Canuck sera entreposé à la garnison de Saint-Hubert du 438e Escadron d’hélicoptères tactiques « Wildcat » après réception de l’autorisation de l’escadron et d’autres autorités militaires. Par la suite, le fuselage devrait être dévoilé au cours de la journée portes ouvertes organisée par l’École nationale d’aérotechnique de Saint-Hubert, le dimanche 11 novembre.

Le Musée de l’aérospatiale du Québec a été créé en août dernier en tant que société à but non lucratif dont l’objectif est de présenter les innovations et les réalisations de l’industrie aérospatiale au Québec et dans le reste du Canada. Une suite logique de la fondation aérovision Québec.

Pour plus d’informations sur le musée, cliquez ici.

Une botte volante est interpellée par ACTC

Dans le cadre d’une campagne de marketing que l’on pourrait qualifier de plutôt « spéciale », la compagnie de bottes britannique Hunter Boot Ltd s’est lancée dans un tour du monde pour promouvoir sa gamme de bottes Wellington en utilisant une montgolfière sous la forme d’une botte.

Hunter, basé à Édimbourg en Écosse, prévoyait de lancer sa montgolfière en forme de botte de 36 mètres de haut au-dessus des chutes Niagara cette semaine pour célébrer ses 162 années d’activité. C’est alors qu’Aviation civile, Transports Canada (ACTC) est intervenue et a avisé l’exploitant de la montgolfière que celle-ci devait demeurer au-dessus de 3 500 pieds ASL dans un rayon de deux miles autour des chutes afin d’éviter l’intense trafic d’hélicoptères touristiques.

Aux dires de Ken Walsh, inspecteur de ACTC, a déclaré : « Nous leur avons parlé il y a quelque temps et leur avons dit qu’ils ne pourraient pas survoler les chutes en-dessous de 3 500 pieds. » Pas plus tard que lundi dernier, Walsh a dû rappeler les règles à un pilote de montgolfière.

Selon l’exploitant d’hélicoptères du Niagara, National Helicopters, les conditions météorologiques ont été pitoyables cette semaine avec de bas nuages et de puissants  vents, ce qui a contraint la botte volante à demeure au sol pour toute la semaine.

La montgolgière, qui ressemble à la botte Wellington originale de Hunter, fait l’objet d’une tournée promotionnelle à l’échelle du continent.

La photo ci-dessus montre la montgolfière survolant le Firth of Forth en Écosse.

Le coroner publie un rapport sur un accident d’impact sans perte de contrôle (CFIT)

Dans un rapport de coroner publié la semaine dernière, des nuages bas et une perte de visibilité qui en résulte ont été cités parmi les principaux facteurs de la mort d’un pilote de Whitehorse au nord de Faro (Yukon) le 2 septembre 2017.

Justin Kolla, âgé de 31 ans, pilotait l’un des deux avions Champion 7GCB de Whitehorse à Russell Creek, situé à environ 60 km au nord de Faro. L’appareil s’est écrasé sur le Mont Menzie, à environ 10 km de sa destination.

Les deux avions se dirigeaient vers Russell Creek pour un voyage de chasse de trois jours, dans ce qui devait être un vol à vue (VMC). Par contre, un plafond réduit a obligé les pilotes à suivre un itinéraire à plus basse altitude. Les deux pilotes ont perdu contact entre eux pendant le vol et, lorsque M. Kolla n’a pas pas fait acte de présence à Russell Creek, le pilote de l’autre avion a fait marche arrière et a constaté les débris de l’avion de son ami. Un hélicoptère de la GRC envoyé de Faro plus tard dans la journée a retrouvé le corps de Kolla sur le lieu de l’accident.

Dans son rapport, la coroner en chef du Yukon, Heather Jones, a écrit : « La détérioration des conditions météorologiques et la désorientation du pilote ont été les principaux facteurs de ce décès. » On a déterminé que l’avion était  entré dans les nuages après près de deux heures de vol. Les indices semblent indiquer que l’avion de Kolla a heurté la face sud du Mont Menzie avec une puissance de croisière.

Le rapport du coroner est disponible ci-dessous (en anglais).

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Victime de la collision aérienne à Carp identifiée

Le pilote du Cessna 150 impliqué dans la collision en vol de dimanche dernier avec un Piper Cheyenne près de l’aéroport de Carp (CYRP) a été identifié comme Gerhard Herget, un résident de la région d’Ottawa, le seul décès dans cet accident.

Herget, âgé de plus de 80 ans, était bien connu dans la communauté des pilotes locaux, selon son ami Vincent Charron, pilote de ligne à la retraite. Le Cessna 150G de 1967 avait été acheté par Herget d’un autre ami de Charron en septembre dernier. Il avait déjà possédé d’autres Cessna depuis 1985 dont un 152, un 172G et un 177B.

Selon les premières informations, le C-150 de Herget est entré en collision avec le train d’atterrissage du Piper PA-42 Cheyenne, ce qui a provoqué la ruptutre partielle d’une des ailes du 150. S’en est suivi une perte de contrôle du Cessna, puis d’un incendie après l’impact.

Le Cheyenne, avec immatriculation privée et appartenant à un promoteur immobilier basé à Carp (Nautical Lands Group), a subi des dommages au train d’atterrissage, à l’empennage et au gouvernail. Malgré les dégâts, le bimoteur turbopropulsé, avec le pilote et un membre de sa famille à bord, a pu atterrir à Ottawa (CYOW). La photo ci-dessus montre la position anormale du train d’atterrissage principal droit, suite à l’impact.

Les conditions étaient VFR au moment de la collision, qui s’est produite alors que les deux avions se trouvaient dans l’espace aérien du circuit de l’aéroport de Carp, selon le BST.

Le BST a déclaré que le Cessna a été transporté à son laboratoire d’ingénierie, à Ottawa, pour leur permettre de déterminer la façon dont les deux appareils sont entrés en contact. En analysant les marques et les dommages, les enquêteurs espèrent obtenir une meilleure idée de la position de chacun des appareils au moment de l’accident et de la géométrie de l’impact. Ils examineront également les données audio et radar de l’ATC pour obtenir plus d’indices.

Consultations régionales de Transports Canada

Au cours des mois qui viennent, Transports Canada rendra visite aux intervenants locaux, y compris aux clubs COPA, dans les diverses régions. Pour aider les présidents de club dans leurs préparatifs en vue de ces rencontres, nous avons dressé une liste de sujets touchant des questions de toute première importance, et ce, afin d’aiguiller les participants vers les thèmes les plus pertinents lors des discussions. N’hésitez pas à ajuster cette liste pour qu’elle corresponde le mieux possible à votre situation locale ou à votre perspective régionale.

Les sections locales pourront ainsi entamer le dialogue avec COPA à l’échelle du pays pour faire entendre d’une seule et même voix le point de vue de la collectivité aéronautique.

Campagne de sécurité de l’aviation générale

  • COPA est heureuse de pouvoir travailler en étroite collaboration avec les autorités concernées afin de concevoir et de promouvoir de nouvelles initiatives volontaires au plan de la sécurité, ainsi que des meilleures pratiques dans l’ensemble de l’industrie.

Révision obligatoire aux dix ans des hélices à vitesse constante

  • Il n’existe aucune donnée justifiant le maintien d’une telle exigence
  • Au Etats-Unis, là où l’on retrouve le plus grand parc d’aréonefs de l’aviation générale au monde, cette obligation n’existe pas et aucune étude statistique ne parait indiquer que l’absence de cette disposition aurait systématiquement entraîné des accidents
  • En obligeant les propriétaires d’aéronefs à consacrer des sommes élevées à ces révisions purement arbitraires, on diminue d’autant leur capacité d’investir dans d’autres technologies ou d’autre équipement, dont on a déjà pu confirmer l’apport sécuritaire

Retards dans la mise en oeuvre des services

  • A travers le pays, des membres de COPA font état de nombreux cas où TCAC n’a pas été en mesure de rencontrer la mise en oeuvre de services aux dates annoncées
  • Des retards indus dans le traitement des demandes, des permis et d’autres documents constituent autant d’obstacles à l’entrée pour les gens de l’industrie.

Différences régionales au sein de TCAC

  • COPA incite TCAC à harmoniser ses procédures et ses politiques dans l’ensemble de ses bureaux régionaux
  • Les bureaux régionaux ne devraient jamais mettre en oeuvre des politiques qui diffèrent du contenu du Règlement de l’aviation canadien ou des Circulaires d’information de TC

ADS-B et ELT

  • COPA est en faveur de la poursuite d’un dialogue avec le gouvernement et l’ANSP relativement à l’implantation d’une nouvelle technologie, telle l’ADS-B, pour remplacer les vétustes ELT et rencontrer ultimement les exigences contemporaines en matière de recherche et sauvetage.
  • Le système ELT date déjà de plusieurs décennies et des incidents survenus lors de récentes disparitions d’avions ont démontré le manque de fiabilité flagrant ou l’inefficatité du procédé.
  • Cette quête d’une nouvelle technologie pour faciliter la recherche d’avions manquants accroîtra ultimement le sentiment de sécurité chez les pilotes et les passagers, de même que leurs proches, tout en allégeant le lourd fardeau présentement porté par les agences de recherche et sauvetage, ainsi que le poids économique qu’il représente.

Aérodrome récemment ouvert impopulaire auprès des voisins

Les résidents situés près de l’aéroport d’Edmonton / Parkland (CPL6), ouvert en 2014, se plaignent déjà du bruit qu’il génère. Situés à la campagne, à 11 km au sud-ouest de la banlieue ouest d’Edmonton, les habitants de la région affirment que les avions volent trop bas et à proximité des habitations, et qu’ils « plongent en piqué » au-dessus de leurs propriétés. Un résident aurait répertorié des milliers de ces cas, bien que ni l’exploitant de l’aéroport ni Transports Canada ne puissent le vérifier.

L’aéroport privé abrite le Edmonton Flying Club (EFC), qui a été déplacé d’Edmonton lorsque l’aéroport de Blatchford Field (CYXD), situé au centre-ville, a été fermé à la fin de 2013. L’EFC exploite le Edmonton Flight College, qui offre de la formation avec leur flotte de Cessna 172s et un Piper Seminole, tous des modèles récents. Outre la pratique des circuits, le EFC utilise une zone d’entraînement située à 10 minutes de vol.

Lors d’une réunion qui a eu lieu récemment et à laquelle assistaient le groupe Opponents of Parkland Airport (OPA), la GRC, le EFC, le maire de Parkland County et Transports Canada, le directeur de l’aéroport, Robert Gilgen, a expliqué que l’aéroport seul ne pouvait pas modifier les procédures de circuit car il relevait de la compétence fédérale.

Néanmoins, Gilgen était optimiste après la réunion. « Nous comprenons leurs préoccupations, nous voulons les aider. Par contre, nous avons une entreprise à exploiter et un manuel à suivre », a déclaré Gilgen. « Nous ne pouvons pas imposer différents circuits, mais nous pouvons travailler avec chaque pilote ou avec les instructeurs de vol, mais vous ne pouvez pas modifier les règles de l’aviation. C’est donc également une question de sécurité. »

Mandy Kenworthy, représentante de l’OPA, a déclaré qu’elle espérait toujours que l’aéroport soit fermé.

Les voisins en colère ne sont pas le seul défi auquel l’aéroport est confronté. Selon le Spruce Grove Examiner, le propriétaire de l’aéroport doit actuellement plus de 700 000 $ en taxes foncières impayées et en pénalités, tout en ayant encore à gérer son investissement initial de 20 millions de dollars.

Ce Canuck a besoin d’aide

Un CF-100 Canuck d’Avro qui est soumis depuis des décennies aux éléments rigoureux des prairies se détériore au point que son musée, situé à Calgary, souhaite le déplacer à l’intérieur.

L’avion de l’époque de la guerre froide qui, selon le musée, a été le premier chasseur conçu et construit par le Canada à être déployé, est la propriété de la ville, avec les autres biens du musée. L’opération de ce dernier et l’entretien de ses pièces exposées  sont sous la responsabilité d’un organisme à but non lucratif créé à ces fins en 1975.

Le Hangar Flight Museum de Calgary, situé à proximité de l’aéroport de Calgary (CYYC), espère que la ville fournira les fonds nécessaires pour le déplacer à l’intérieur. Dans une interview avec le Calgary Herald, le président du conseil d’administration du musée, Jim Williams, aurait déclaré : « Vous pouvez voir ce que les éléments ont fait au fil du temps. Il y a certainement des trous dans la cellule qui devraient être réparés ainsi qu’un certaine détérioration, en particulier sur les ailes de l’avion. »

Le musée espère que sa nouvelle demeure permettra la restauration de l’avion, tout en reconnaissant qu’il s’agirait d’un défi de taille et coûteux, et qu’un financement fourni par la ville ainsi qu’une collecte de fonds publique seraient nécessaires. Williams a déclaré : « En attendant, nous essayons de travailler avec la ville et nous-mêmes pour développer un plan qui nous permettra de prendre action avant que la situation ne s’aggrave. »

Le Canuck du musée a servi au 440e Escadron de l’ARC à Bagotville avant d’être converti en avion de formation à double contrôle et affecté à une unité de formation à North Bay, en Ontario.

Pour plus d’informations sur le musée, anciennement connu sous le nom de Aero Space Museum de Calgary, cliquez ici.

Le BST cite la fatigue des pilotes comme préoccupation majeure

Le BST a publié sa cinquième liste de surveillance annuelle cette semaine, identifiant la fatigue des pilotes comme l’un des sept principaux problèmes de sécurité auxquels le secteur des transports du Canada est confronté. La question de la fatigue était commune à tous les modes, selon le BST, y compris dans les secteurs aérien, maritime et ferroviaire.

« Au BST, nous savons bien que la fatigue peut nuire au rendement. Nous le constatons enquête après enquête, dans tous les modes de transport, » a déclaré Kathy Fox, présidente du BST.

Liste de surveillance 2018 identifie les actions que le BST juge nécessaires pour résoudre efficacement le problème. Le document indique que : « pour bien gérer la fatigue, il faut à tout le moins une réglementation sur les périodes de service qui soit adéquate et fondée sur la science de la fatigue, des programmes de gestion de la fatigue, adaptés aux activités de chaque entreprise, ainsi qu’une formation en sensibilisation pour aider les employés et leurs gestionnaires à prévenir la fatigue et à en atténuer les symptômes avant que ne survienne un accident. »

Fox a ensuite déclaré : « Transports Canada, les exploitants, les syndicats et les employés ont tous un rôle à jouer pour prévenir et gérer la fatigue au travail. Cela exige aussi de profonds changements d’attitude et de comportement tant chez les gestionnaires que chez les employés. »

Commentant la publication du rapport, le ministre des Transports, Marc Garneau, a déclaré : « Le Bureau de la sécurité des transports du Canada joue un rôle très important pour s’assurer que le secteur des transports du Canada demeure l’un des plus sécuritaires au monde, et j’accueille favorablement la publication de sa liste de surveillance de 2018. »

Dans une déclaration publiée par le Ministre Garneau, ce dernier a ensuite cité une récente réunion organisée conjointement avec l’Université McGill en juin dernier pour traiter de la fatigue des pilotes :

« Cette question a récemment été abordée à l’occasion d’un forum organisé par Transports Canada et l’Université McGill en juin dernier. Le Forum sur la fatigue dans les transports a réuni des participants de tous les modes, des intervenants et des experts universitaires en science de la fatigue pour discuter des risques et des pratiques exemplaires liés à la gestion de la fatigue. Transports Canada examine de façon continue les exigences en matière de gestion de la fatigue pour déterminer s’il y a lieu d’apporter des modifications pour mettre à jour le régime, et il travaille avec des partenaires fédéraux et des intervenants clés à élaborer d’autres options. Le Ministère propose de nouvelles règles en matière de fatigue des pilotes pour améliorer la sécurité aérienne des Canadiens, avec l’intention de publier le règlement définitif dans la partie II de la Gazette du Canada en 2018. »

De plus amples informations peuvent être trouvées en cliquant ici.

Condamnation criminelle d’un pilote de drone

Dans ce que la GRC a appelé le premier cas de condamnation pénale d’un opérateur de drones au Canada, un homme des Territoires du Nord-Ouest a été condamné à une amende de 3 000 $ et à trois ans d’interdiction de vol de drones pour avoir opéré un drone dans l’espace aérien autour de l’aéroport de Yellowknife ( CYZF).

La juge de la Cour territoriale, Bernadette Schmaltz, a imposé à contrecœur la peine à Toufic Chamas, citant le fait que ses mains étaient liées, étant donné que le procureur et la défense avaient recommandé la même peine. Compte tenu de la gravité de l’infraction et citant l’exemple d’un drone causant une catastrophe aérienne majeure, Schmaltz estimait qu’une peine plus sévère s’imposait.

Chamas, âgé de 22 ans, avait déjà été averti à trois reprises lorsqu’il utilisait illégalement son drone DJI Phantom 4 Pro dans le centre-ville de Yellowknife et à une occasion, près des lignes électriques. À chaque fois qu’il était confronté à la police, il plaidait l’ignorance, bien que la police lui ait précédemment donné une brochure explicative concernant les opérations de drones.

Chamas fait également face à des accusations pour d’autres infractions, notamment la conduite avec permis suspendu, diverses infractions relatives aux armes à feu, cambriolage et le non-respect des décisions de la cour. Le juge Schmaltz a déclaré : «Le mépris de M. Chamas pour les décisions de la cour ne pourrait pas être plus flagrant. »

Changements dans l’espace aérien de la FIR de Montréal sont imminents

Nav Canada apportera des modifications à l’espace aérien entre l’aéroport Jean Lesage (CYQB) et Montréal Dorval (CYUL) le 8 novembre à 0901Z. Dans ce que Nav Canada appelle « la modernisation de l’espace aérien », ils ont annoncé les changements suivants après avoir consulté les intervenants :

  • Changements aux routes obligatoires
  • STAR RNAV nouveaux ou mis à jour
  • Points communs pour les approches ILS, RNAV Y et Z lorsque possible
  • Mise à niveau des approches RNAV (GNSS) pour toutes les pistes
  • Nouvelles approches RNAV (RNP) pour toutes les pistes
  • Mise à jour de l’approche ILS
  • Nouveaux SIDs RNAV
  • Voies aériennes T&Q nouvelles ou mises à jour

Le document d’information complet de Nav Canada est disponible ci-dessous :

CYQB-FR