L’aéroport de Nanaimo prévoit un investissement de 29 M$

Le 21 décembre, la Commission de l’aéroport de Nanaimo (YCD) a présenté un plan d’investissement quinquennal de 28,8 millions de dollars visant à améliorer les infrastructures et contribuer à la reprise économique de l’île de Vancouver.

La commission déclare que cet investissement vise aussi à ouvrir la porte à d’autres options de destinations comme Toronto, Edmonton, Kelowna et des destinations soleil saisonnières. « Nous assumons de manière proactive notre rôle de moteur économique clé pour la région », a déclaré Dave Devana, président et chef de la direction de l’aéroport de Nanaimo. « Nos investissements créeront des emplois et des occasions générant de multiples retombées économiques, lesquelles toucheront toutes les régions que nous desservons. Notre nouveau plan d’immobilisations en infrastructure aidera l’aéroport de Nanaimo et notre région à se remettre de l’impact de la pandémie tout en veillant à ce que l’aéroport continue de répondre aux besoins des voyageurs d’affaires et d’agrément pour la prochaine génération. »

La Commission de l’aéroport de Nanaimo a adopté le plan financier 2021-2025 le mois dernier, en se concentrant sur un budget basé sur une lente reprise postpandémie avec un trafic de passagers revenant au niveau de 2019 d’ici 2024. La Commission, qui est exploitée comme un organisme à but non lucratif, souligne qu’aucun dollar des contribuables ne sert à financer les activités aéroportuaires. Ses revenus proviennent des redevances des passagers, des frais de stationnement et des baux. Tous les revenus nets sont réinvestis dans l’amélioration des infrastructures. Les subventions gouvernementales ont toutefois aidé à financer des projets d’immobilisations, comme le nouveau terminal de l’aéroport.

Un communiqué publié par YCD explique que la pandémie de COVID-19 est à l’origine du plus grand défi financier de son histoire. Elle estime que 181 072 passagers franchiront ses portes en 2020, une baisse de 63 % par rapport au record de 491 499 en 2019. Par conséquent, l’aéroport prévoit une perte de 1,4 M$ en 2020, contre un excédent de 3,75 M$ en 2019.

« Nous sommes un service essentiel, nous ne pouvons donc pas fermer même pendant une pandémie », fait remarquer M. Devana. « Notre région dépend de nous pour le transport des personnes et des fournitures essentielles. »

Le Canada octroie un contrat de 36 M$ à Elbit Systems pour un RPAS

Le gouvernement du Canada a attribué un contrat de 36,16 millions de dollars à Elbit Systems Ltd pour l’acquisition d’un système d’aéronef télépiloté (RPAS). Ce contrat s’inscrit dans le Programme national de surveillance aérienne de Transports Canada.

Annoncé par Anita Anand, ministre des Services publics et de l’Approvisionnement et Marc Garneau, ministre des Transports, le contrat comprend des liaisons de communication, des postes de commande au sol, des capteurs, un aéronef télépiloté, de la formation et l’achat optionnel de pièces de rechange; et va dans le sens des efforts déployés par le gouvernement pour vérifier l’utilisation de la technologie des drones ainsi que son intégration en toute sécurité dans l’espace aérien canadien.

« Cet investissement contribuera à renforcer la capacité de sécurité et de surveillance du Programme, ce qui se traduira par un environnement plus propre et plus sécuritaire », a fait valoir Mme Anand. En vertu de cet accord, le RPAS Hermes 900 StarLiner d’Elbit Systems en Israël viendra s’ajouter à la flotte actuelle du Programme national de surveillance aérienne de Transports Canada. Le drone devrait être livré d’ici décembre 2022.

Le système d’aéronef est commandé depuis un endroit éloigné et est doté de capacités d’autopilotage, dont le décollage et l’atterrissage automatiques. Le Hermes 900 StarLiner est conçu pour couvrir une portée de plus de 1400 milles marins. C’est un RPAS d’une grande autonomie capable de voler à moyenne altitude jusqu’à 72 degrés de latitude nord. Transports Canada prévoit utiliser l’aéronef pour détecter les déversements d’hydrocarbures, étudier les glaces et les habitats marins et surveiller les activités sur l’océan dans l’Arctique canadien.

« Le Canada est déterminé à protéger les espèces menacées et le milieu marin », a commenté M. Garneau. « Grâce à l’intégration d’aéronefs télépilotés à notre flotte, nos activités de surveillance seront plus solides que jamais. Le Programme national de surveillance aérienne contribue également aux opérations de recherche et de sauvetage, aux activités humanitaires, à la lutte contre la pêche illégale, ainsi qu’au développement et à la réglementation de l’industrie canadienne des drones. »

Transports Canada devrait ajouter le RPAS Hermes 900 StarLiner d’Elbit à sa flotte du Programme national de surveillance aérienne d’ici décembre 2022. (Photo : Elbit Systems)

Piper certifie et livre son premier avion d’entraînement Pilot 100i

Piper Aircraft a reçu la certification de type de la FAA (Federal Aviation Administration) pour son avion d’entraînement Pilot 100, qui a été présenté à l’exposition Sun-n-Fun 2019. Le client de lancement, American Flyers, devrait recevoir huit modèles 100i d’ici la fin de 2020.

Le Pilot 100i est une version certifiée IFR du Pilot 100 équipé pour le vol VFR. La nouvelle famille d’avions d’entraînement est un dérivé de la gamme Piper PA-28, qui a été mise marché dans les années 1960 sous le nom de Cherokee.

La compagnie déclare que le nouveau Pilot 100i complète sa gamme d’avions d’entraînement, laquelle comprend également les modèles Archer TX, Archer DX, Arrow et Seminole. Avec ses capacités IFR et de pilote automatique numérique, le Pilot 100i se détaille tout de même sous la barre des 300 000 USD.

« Nous sommes ravis d’ajouter la série Pilot 100 à notre gamme de produits de formation à un prix qui offre une économie optimale aux exploitants », a exprimé Simon Caldecott, président et chef de la direction de Piper.

Le Pilot 100i comprend le système G3X de Garmin, que Piper considère offrir les avantages d’un cockpit en verre, mais sans les coûts. L’avion est propulsé par un moteur Lycoming IO-360-B4A de 180 HP. Sa vitesse de croisière maximale s’élève à 128 noeuds (TAS) ou 237 km/h et son autonomie à 522 milles nautiques (avec une réserve de 45 minutes).

« La suite avionique G3X est la seule plateforme en verre qui permet de basculer entre l’affichage à cadrans ronds et à bande dans un format d’écran tactile », a commenté Steven Daun, pilote en chef national chez American Flyers. « Cela surpasse la suite G1000 à bien des niveaux, et c’est la principale raison pour laquelle nous avons choisi le Pilot 100i. »

(Photo: Piper Aircraft)

Le nouveau satellite SXM-7 de SiriusXM fonctionne correctement

Maxar Technologies, SiriusXM et SpaceX ont annoncé le 13 décembre que le satellite SXM-7 avait été lancé avec succès et fonctionnait correctement, fournissant à son tour des services de divertissement audio et d’information de façon fiable et continue.

SXM-7, un satellite radio audio numérique de grande puissance, a été lancé à bord d’une fusée SpaceX Falcon 9 depuis Cap Canaveral en Floride. Peu de temps après sa mise en orbite, le SXM-7 a déployé ses panneaux solaires et a commencé à recevoir et à envoyer des signaux. Le satellite allumait ses propulseurs pour se diriger vers son orbite géostationnaire finale.

SXM-7 servira d’abord les consommateurs américains. Sa zone de couverture sera ensuite élargie au Canada et aux Caraïbes dans les années à venir. Il fournira également un coup de pouce important dans la transmission d’informations continuelles et fiables au secteur canadien de l’aviation générale.

Sirius XM explique que le SXM-7 fournira la plus grande densité de puissance de tous les satellites commerciaux actuellement en orbite, transmettant plus de 8000 watts de contenu aux États-Unis continentaux, au Canada, à Porto Rico et aux Caraïbes, et augmentant du même coup la puissance et la portée du signal de SiriusXM.

« Le SXM-7 joue un rôle important en matière de continuité et de fiabilité du divertissement audio de SiriusXM, ainsi que de ses services de trafic, de météo, de données et d’information pour les années à venir », a déclaré Bridget Neville, vice-présidente principale Ingénierie et fonctionnement des satellites et répéteurs chez SiriusXM. « Avec l’ajout du SXM-7, notre zone de couverture de service par satellite en Amérique du Nord est plus grande et plus puissante que jamais. »

Le SXM-7 pèse près de 7000 kg, et il est construit sur la plateforme de classe 1300 de Maxar, décrite comme la plateforme d’astronefs géosynchrones la plus répandue au monde. Le satellite est conçu pour fournir un service pendant plus de 15 ans. Maxar a déjà construit un total de sept satellites pour SiriusXM, y compris ses satellites Sirius de première génération lancés en 2000 et ses satellites Sirius de deuxième génération lancés en 2009 et 2013.

SXM-7 rejoint les satellites XM-3, XM-4, XM-5, FM-5 et FM-6 de la flotte active de SiriusXM. Le SXM-7 et le SXM-8 remplaceront ensemble le XM-3 et le XM-4, étendant l’offre de services par satellite de SiriusXM au moins jusqu’en 2036.

Construit par Maxar et lancé à bord d’une fusée SpaceX Falcon 9, le nouveau satellite de classe 1300 de SiriusXM fournira des services de divertissement audio et d’information en continu et plus étendus à travers l’Amérique du Nord. (Photo : Maxar)

DJI dévoile le Mavic 2 Enterprise Advanced

Le 15 décembre, le constructeur DJI a dévoilé le Mavic 2 Enterprise Advanced, un ajout à sa flotte commerciale qui se démarque par de nouvelles caméras thermiques et RVB, ainsi qu’une précision de positionnement au centimètre près grâce à son module RTK.

Les livraisons du Mavic 2 Enterprise Advanced de DJI commenceront au premier trimestre 2021, mais il peut être précommandé dès maintenant.

« Nous avons réalisé que nos clients commerciaux utilisaient souvent le Mavic 2 Enterprise pour effectuer des inspections industrielles, lesquelles exigent une précision et une résolution accrues. Dans cette application, les caractéristiques des capteurs thermiques et visuels jouent un rôle clé pour que le travail soit effectué selon les règles de l’art », a déclaré Christina Zhang, directrice principale Stratégie d’entreprise et communication chez DJI, expliquant que les mises à niveau du drone le rendent bien adapté aux inspections complexes.

« Les professionnels de l’inspection seront en mesure de déterminer les défauts et les anomalies avec plus de détails, et d’effectuer les différentes tâches et l’entretien plus efficacement », a fait valoir Mme Zhang. « En outre, les premiers répondants et les pompiers seront en mesure de localiser rapidement les victimes, de repérer les points chauds et de détecter les risques d’incendie afin d’élaborer des plans de sauvetage ciblés tout en assurant la sécurité du personnel. »

Le Mavic 2 Enterprise Advanced comporte deux capteurs : une caméra à résolution thermique (HD 640 × 512 px) et une caméra visuelle (48 Mpx avec capteur CMOS 1/2 po). La caméra thermique offre un défilement d’images de 30 Hz et une précision de mesure de température de ± 2 °C. Les pilotes peuvent basculer entre les flux visuels, thermiques ou la vue divisée selon les besoins d’un projet.

Le Mavic 2 Enterprise Advanced peut saisir des images HD et des vidéos 4K depuis une distance sécuritaire, indique DJI, car ses capteurs de caméra haute résolution sont jumelés à un zoom numérique 32x et un zoom thermique 16x.

Le nouveau drone comprend également un posemètre directionnel – qui affiche la température moyenne d’un objet – aidant ainsi les pilotes à surveiller et mesurer les objets critiques ou dangereux. Sa fonction de mesure de zone affiche la température moyenne, la plus basse et la plus élevée, ainsi que les emplacements de chaque zone. Les inspecteurs peuvent donc déterminer si un actif se trouve en état de surchauffe.

Le nouveau Mavic 2 Enterprise Advanced de DJI peut être équipé du module RTK de la compagnie qui, selon DJI, permet d’atteindre une précision au centimètre près. Il prend également en charge le système NTRIP, ce qui le rend bien adapté aux inspections de lignes à haute tension. Les opérateurs peuvent créer jusqu’à 240 points de cheminement pour mener à bien des missions d’inspection automatisées et détaillées dans des milieux complexes.

DJI souligne également que le poids léger et le format portable du drone lui confèrent une grande polyvalence, car il peut se retrouver dans les airs en moins d’une minute et se déplacer rapidement dans des environnements complexes grâce à sa particularité d’ascension et de descente rapides.

Le Mavic 2 Enterprise Advanced intègre plusieurs caractéristiques de protection des données spécifiques aux produits commerciaux de DJI en matière d’intégrité des photos/vidéos, des journaux de bord et autres données générées pendant le vol. Lorsqu’il est utilisé avec l’application Pilot de DJI, la compagnie fait savoir que le Mavic 2 Enterprise Advanced propose le mode Données locales comme moyens additionnels de protection des données. Lorsqu’il est activé, ce mode empêche l’application Pilot d’envoyer ou de recevoir des données sur Internet. La liaison radio entre l’aéronef et la radiocommande est dotée d’un cryptage AES-256.

Le Mavic 2 Enterprise Advanced comprend 24 Go de stockage de données intégré et une protection par mot de passe. Le drone incorpore également le système AirSense de DJI qui reçoit les signaux ADS-B des avions et des hélicoptères afin d’avertir les pilotes de drone du trafic aérien à proximité. Il détecte également les obstacles dans six directions. DJI mentionne finalement que les opérateurs peuvent voler en mode Discret – lequel désactive les feux de navigation à DEL – et mettre à profit des piles autochauffantes lors de sorties par temps froid, aussi bas que -10 °C (14 °F).

Le Mavic 2 Enterprise Advanced de DJI peut être équipé du module RTK de la compagnie qui permet d’atteindre une précision au centimètre près et qui prend en charge le système NTRIP, ce qui le rend bien adapté aux inspections de lignes à haute tension. (Photo : DJI)

Transports Canada valide les modifications de conception du 737 MAX

Les experts en sécurité aérienne de Transports Canada ont terminé leur examen indépendant des modifications apportées à la conception du Boeing 737 MAX, récemment certifié par la Federal Aviation Administration (FAA) des États-Unis.

Ainsi, Transports Canada a annoncé le 17 décembre que ces modifications sont maintenant validées et qu’elles peuvent maintenant être apportées aux appareils immatriculés au Canada. Cependant, les restrictions de vol commercial pour l’exploitation du Boeing 737 MAX dans l’espace aérien canadien demeurent en vigueur et ne seront pas levées tant que le Ministère ne sera pas pleinement convaincu que toutes ses préoccupations en matière de sécurité ont été prises en compte.

Transports Canada a déclaré avoir travaillé de façon soutenue avec la FAA et d’autres autorités de certification clés, notamment l’Agence de l’Union européenne pour la sécurité aérienne (AESA) et l’Agence nationale de l’aviation civile du Brésil (ANAC) ainsi qu’avec les trois exploitants canadiens du Boeing 737 MAX et leurs syndicats de pilotes, tout au long du processus de validation de l’aéronef. Transports Canada précise que ses experts en certification ont joué un rôle déterminant dans l’orientation des modifications apportées à la conception de l’aéronef.

L’organisme de régulation décrit la remise en service du 737 MAX comme un processus complexe requérant la mise en place de plans de sécurité complets nécessitant des modifications supplémentaires de l’aéronef, de la maintenance et de la formation. Au cours des prochaines semaines, Transports Canada travaillera avec les exploitants de lignes aériennes, les équipages et les associations syndicales du Canada pour déterminer la façon dont ces exigences seront mises en œuvre au pays.

Plus précisément, Transports Canada explique que les modifications canadiennes apportées à la conception du Boeing 737 MAX comprendront une procédure améliorée dans le poste de pilotage qui permettra au commandant de bord de désactiver un système d’avertissement sonore et intrusif (communément appelé « vibreur de manche ») lorsque le système a été activé par erreur en raison d’une défaillance du système de détecteurs d’angle d’attaque.

En plus d’aider à réduire la charge de travail des pilotes à la lumière des enseignements tirés des deux accidents tragiques, évoque Transports Canada, cette fonction a été entièrement évaluée par les pilotes d’essai en vol. Il y aura également des différences dans la formation, y compris la formation sur la procédure améliorée dans le poste de pilotage.

En janvier 2021, le Ministère prévoit de publier une consigne de navigabilité canadienne qui stipulera les modifications de conception canadiennes qui doivent être apportées aux appareils canadiens. En même temps, le Ministère rendra obligatoires les exigences de formation pour le personnel navigant au moyen d’un arrêté d’urgence.

En d’autres termes, avant la remise en service de l’aéronef dans l’espace aérien canadien, Transports Canada exigera :
• des modifications aux appareils conformément à la consigne de navigabilité canadienne;
• l’incorporation du programme de formation des pilotes révisé dans le programme de formation approuvé par Transports Canada pour chaque compagnie aérienne canadienne;
• la maintenance des appareils par les compagnies aériennes pour s’assurer qu’ils fonctionneront en toute sécurité étant donné qu’ils sont entreposés depuis un certain temps.

(Photo : Boeing)

De nouvelles certifications pour le pilote automatique GFC 500 de Garmin

Le 17 décembre, Garmin International a reçu la certification de type supplémentaire (STC) de la FAA (Federal Aviation Administration) du pilote automatique GFC 500 pour d’autres avions, y compris certains Mooney M20 (modèles C à G) et le Cessna 172RG.

Le pilote automatique GFC 500 est conçu pour les avions légers à pistons. Il offre des caractéristiques en vol, des capacités d’autosurveillance et des besoins d’entretien minimaux par rapport aux pilotes automatiques d’ancienne génération.

Voici les nouveaux modèles d’avions maintenant approuvés pour le pilote automatique GFC 500 : Mooney M20, modèles C, D, E (à partir de 1965), ainsi que les modèles F et G; et le Cessna 172RG.

Le pilote automatique GFC 500 s’intègre aux instruments de vol électroniques GI 275 ou G5; une combinaison d’instruments de vol électronique GI 275 ou G5 de secours relié à un écran de vol G500 TXi; ou un écran de vol G3X Touch. Garmin déclare qu’il est conçu pour fournir aux pilotes une solution de pilote automatique économique et moderne.

Le contrôleur de mode pilote automatique contient des touches et des boutons de bonne dimension, une molette de commande qui permet de régler le pas de l’avion, la vitesse anémométrique et la vitesse verticale, ainsi qu’un mode de niveau qui ramène l’avion en vol rectiligne en appuyant sur un seul bouton.

En plus des capacités de pilote automatique traditionnelles – telles que le maintien de l’altitude, la vitesse verticale et la tenue de cap – le GFC 500 comprend également la présélection d’altitude, le VNAV1, le mode de niveau, la protection contre la sous-vitesse et la survitesse et plus encore. Les pilotes peuvent également sélectionner, coupler et piloter diverses approches aux instruments, y compris les approches GPS, ILS, VOR, LOC et les approches alignement arrière lorsqu’il est jumelé à un navigateur GPS Garmin compatible.

Pour les clients qui possèdent déjà un instrument de vol électronique GI 275 ou G5, le GFC 500 démarre au prix de détail suggéré de 6995 USD pour un pilote automatique à deux axes.

Garmin continue ses démarches pour ajouter des modèles d’avions à la liste STC de la FAA pour les pilotes automatiques GFC 500.

Voici les programmes de certification GFC 500 en cours :
• Beechcraft 19, 23, 24 (modèles : Musketeer, Sport, Sundowner, Sierra)
• Piper Comanche (modèles : PA-24-260, 260B, 260C, 250)
• Socata Trinidad (modèles : TB-20, TB-21)

Voici les programmes de certification GFC 500 qui devraient commencer au cours des 12 prochains mois :
• Beechcraft 35 Bonanza (modèles : H, J, K, M)
• Cessna 182 (modèles : 182, 182A, 182B, 182C, 182D)
• Cessna 210 (modèles : 210, 210A, 210B, 210C, 210D, 210F, T210F, 210R, T210R)
• Mooney M20 (modèles : 1962-1964 C, D, E)

Les avions certifiés par la FAA comprennent désormais certains avions Mooney M20 (modèles C à G) et le Cessna 172RG. (Photo : Garmin)

Nanaimo Airport planning for $29M investment

The Nanaimo Airport Commission on December 21 introduced a $28.8 million infrastructure capital plan it is undertaking to help fuel the Central Island’s economic recovery. The commission states this investment over the next five years will enhance Nanaimo Airport’s (YCD) infrastructure to provide additional route development options, including Toronto, Edmonton, Kelowna and seasonal sun destinations.

“We’re proactively embracing our leadership role as a key economic driver for the region,” said Dave Devana, President and CEO, Nanaimo Airport. “Our investments will create jobs and opportunities with multiple economic spin-offs that touch all corners of the region we serve. Our new infrastructure capital plan will help Nanaimo Airport and our region recover from the impact of the pandemic while ensuring the airport continues to meet the needs of leisure and business travellers for the next generation.”

The Nanaimo Airport Commission adopted the 2021-2025 Financial Plan last month, focusing on a budget that is based on a slow pandemic recovery with passenger traffic returning to 2019 levels by 2024. The commission, which operates as a non-profit corporation, notes no tax dollars are being used to fund airport operations. It generates revenue through passenger fees, parking fees and leases, with all net income reinvested in infrastructure improvements. Government grants have helped fund capital projects, such as the new Airport Terminal Building.

A statement from YCD explains the COVID-19 pandemic presented the airport with the most-difficult financial challenges in its history. An estimated 181,072 passengers will travel through its gates in 2020, down an estimated 63 per cent from the record 491,499 in 2019. As a result, the airport forecasts a $1.4 million loss in 2020 compared to a $3.75 million surplus in 2019.

“We’re an essential service so we can’t close even during a pandemic,” Devana notes. “Our region depends on us for the transportation of people and critical supplies.”

Canada awards $36M RPAS contract to Elbit

The Government of Canada has awarded a $36.16 million contract to Elbit Systems Ltd. for the acquisition of a remotely piloted aircraft system (RPAS). The contract, announced by Anita Anand, Minister of Public Services and Procurement, and Marc Garneau, Minister of Transport, includes communications links, ground control stations, sensor packages, one remotely piloted aircraft, training, and the optional purchase of spare parts.

The contract fits into Transport Canada’s National Aerial Surveillance Program, as part of the government’s efforts to verify the use drone technology and its safe integration into Canadian airspace. “This investment will help to enhance the security and surveillance capacity under the program, leading to a cleaner and safer environment,” said Anand.

Under the agreement, Elbit Systems of Israel will provide its Hermes 900 StarLiner RPAS as an addition to the existing Transport Canada National Aerial Surveillance Program fleet. The drone is expected to be delivered by December 2022.

The aircraft system is controlled from a remote location and also includes autopilot capabilities, such as automatic takeoff and landing. The Hermes 900 StarLiner is rated for a range of more than 1,400 nautical miles, as a medium-altitude, long-endurance RPAS capable of operations to 72 degrees north latitude. Transport Canada plans to use the aircraft to detect oil spills, survey ice and marine habitats, and monitor activity on the ocean in Canada’s Arctic.

“Canada is committed to protecting our endangered species and our marine environment,” said Garneau. “Integrating remotely piloted aircraft into our fleet will make our surveillance operations more robust than ever. The National Aerial Surveillance Program also helps with search and rescue, humanitarian efforts, illegal fishing enforcement, and the development and regulation of Canada’s drone industry.”

Transport Canada is scheduled to add Elbit’s Hermes 900 StarLiner RPAS to its National Aerial Surveillance Program fleet by December 2022. (Photo: Elbit Systems)