Indigenous Youth Complete Aviation Program

The initial cohort of six young Manitobans to participate in the Eagle’s Wings Flight School (EWFS) aviation program have completed their 20-hour training syllabus.

As reported in the September issue of COPA Flight, the young men and women, ranging in age from 14 to 18 years old, were introduced to aviation as a potential career choice through the completion of a three-day, 20-hour ground school course followed by 12 hours of dual flight training on the program’s Allegro 2000 advanced ultralight aircraft.

Instructor and program creator Josh Cordery and the Allegro 2000 AULA used for training.

“This program was more than I’d hoped or expected,” said 18-year-old Cayden Chaske. “I didn’t think I would get as much time in the air, but we flew every day.”

“I liked planning and flying my three-hour cross-country trip back home; that was awesome,” added the Canupawakpa First Nation member.

The program is the brainchild of Josh Cordery, who serves as the chairperson of the all-volunteer EWFS board of directors. Cordery, also an instructor pilot for the RCAF, hopes to repeat the program next year with another cohort of six young Indigenous youth.

Among the organizations that contributed to the success of the program were KF Aero, Southport Aerospace and Dakota Ojibway Child and Family Services.

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La FAA révise la CN proposée pour les Cherokees

L’Agence fédérale américaine de l’aviation civile (FAA) a publié un supplemental notice of proposed rulemaking (avis supplémentaire de proposition de réglementation, ou SNPRM) qui répond aux commentaires des parties intéressées au sujet de la proposition initiale d’émettre une consigne de navigabilité (CN) requérant l’installation de panneaux d’inspection sur le côté inférieur de la section intérieure de l’aile de certains PA-28-140, 28-150, 28-160, 28-180, 28-235, 32-260 et 32-300.

Les panneaux d’inspection envisagés permettraient un accès visuel à la zone du longeron de l’aile qui est autrement difficile d’accès. Si de la corrosion était détectée, la CN aurait alors exigé que des mesures correctives soient prises. Motivé par un certain nombre de rapports faisant état de « corrosion significative » au longeron de l’aile, le NPRM original a été publié le 7 novembre 2017.

En réponse aux commentaires reçus de quelques personnes et de l’AOPA (que la FAA identifie à tort dans le SNPRM comme étant l’Association des propriétaires et pilotes de compagnies aériennes), la FAA a publié plus de détails sur ce qui a provoqué la proposition de CN. Le régulateur a cité deux PA-28-161, un au Chili et un en Écosse, où une corrosion importante avait été découverte pendant ou après l’installation des panneaux d’inspection des ailes. L’AOPA a également demandé à la FAA de publier son Small Airplane Risk Assessment (évaluation des risques liés aux petits avions, ou SARA) sur la question.

Une concession importante consentie par l’agence fédérale dans le SNPRM aura par ailleurs été la suppression de l’exigence relative à l’installation de panneaux d’inspection, permettant plutôt le recours à des inspections endoscopiques.

Vous trouverez ci-dessous une version PDF du SNPRM (en anglais). Ceux qui souhaitent faire un commentaire à la FAA sur ce SNPRM peuvent le faire en cliquant ici.

Crédit photo : Scott Kinney

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L’expédition 2020 de Give Hope Wings

Maintenant dans sa troisième année d’existence, Give Hope Wings (Donne des ailes à l’espoir) organise à nouveau un effort de collecte de fonds par des pilotes qui implique ce que les pilotes aiment faire le plus – voler. Le destinataire des fonds est Vols d’Espoir (Hope Air), une organisation caritative nationale qui organise à son tour le transport, sans frais, pour les patients nécessitant des soins médicaux dans des endroits éloignés.

Le programme de cette année, baptisé Expédition Sault à Saguenay, débutera le 30 septembre, décollant de l’aéroport de Burlington (CBZA) dans le sud de l’Ontario et s’arrêtant à Sault Ste. Marie, Timmins et Sudbury avant de continuer vers Québec et la région du Saguenay pour y terminer le périple cinq jours plus tard. Des événements médiatiques regroupant les bénéficiaires de Vols d’Espoir sont organisés pour chacune des escales.

« Je me souviens avoir transporté à Sudbury un enfant de cinq mois mais qui ne pesait que 10 livres en raison de complications à la naissance », a déclaré Lee Arsenault, membre de COPA et chef d’expédition de cette année, également pilote bénévole de Vols d’Espoir. « Je n’oublierai jamais à quel point cette jeune mère appréciait un vol gratuit. Ce sont des moments comme celui-ci qui rendent nos missions de transport de patients si enrichissantes. »

Give Hope Wings a été fondée par l’ancien directeur et président de COPA Dave McElroy. En 2018, il a dirigé une expédition de deux avions autour du périmètre de l’Amérique du Sud, au départ et à destination de son aéroport d’origine de Kelowna, en Colombie-Britannique (CYLW), qui a recueilli plus de 500 000 $ pour Vols d’Espoir.

M. McElroy a également dirigé l’Expédition nordique de 2019 à travers l’intérieur de la Colombie-Britannique, les Territoires du Nord-Ouest et du Yukon jusqu’à l’océan Arctique, puis en Alaska. Trois avions ont participé à cet événement (dont un piloté par cet auteur) et plus de 250 000 $ pour Vols d’Espoir ont été amassés. Au total, les fonds recueillis par les expéditions Give Hope Wings ont permis de fournir plus de 3 000 vols à des patients nécessitant un transport hors de la ville.

« Des milliers de familles sont aidées chaque année grâce à notre travail, et nous voulons continuer et aider encore plus de gens », a ajouté le PDG de Vols d’Espoir, Mark Rubinstein. « Cette expédition est une opportunité pour nous de le faire. »

Les pilotes de l’expédition de cette année sont toujours en cours de recrutement et les personnes intéressées sont invitées à visiter le site Web Give Hope Wings pour plus d’informations. Les dons sont bien sûr les bienvenus et peuvent être effectués en ligne sur le site Web sécurisé de Hope Air.

L’aéroport de Stephenville est sous une nouvelle direction

Dans un communiqué de presse publié à la fin de la semaine dernière, la Stephenville Airport Corporation (SAC), exploitant actuel de l’aéroport de Stephenville à Terre-Neuve (CYJT), a annoncé qu’elle avait conclu une entente avec la Winnipeg Airport Services Corp. (WASCO) pour assumer la gestion de l’aéroport.

WASCO, une filiale de la Winnipeg Airport Authority (WAA), exploite actuellement des aéroports à The Pas, au Manitoba (CYQD), à Iqaluit, au Nunavut (CYFB) et à Dawson Creek, en Colombie-Britannique.

« Notre expérience dans l’exploitation d’aéroports communautaires nous permet d’adopter une approche holistique des opérations aéroportuaires, en nous appuyant sur l’expertise de notre personnel et de toute l’équipe WAA pour trouver des gains d’efficacité, résoudre les obstacles et ajouter la plus grande valeur pour la communauté », a déclaré Michael Gorman, directeur général de WASCO.

Lew Short, résidant de Stephenville et auparavant directeur régional de Transports Canada, a été nommé nouveau directeur de l’aéroport.

« Cet accord de partenariat est une bonne nouvelle pour notre ville, les employés de l’aéroport et la région », a déclaré le maire de Stephenville, Tom Rose. « Le nouveau modèle commercial de notre aéroport grâce aux services de gestion de WASCO tracera une nouvelle trajectoire de vol et un nouveau futur pour Stephenville. »

L’aéroport a été construit en 1941 par l’US Army Air Force (qui deviendra plus tard l’US Air Force) et exploité par les forces américaines jusqu’en 1966, sous le nom de Ernest Harmon Air Force Base. La piste de 10 011 pieds faisait partie du réseau des sites d’atterrissage d’urgence pour la navette spatiale de la NASA lorsqu’elle était en service.

Bien que Stephenville, situé sur la côte est de Terre-Neuve, n’ait qu’une population d’environ 6 600 habitants, la zone de desserte de l’aéroport, de Corner Brook au nord à Port aux Basques au sud, compte environ 100 000 personnes.

Les drones continuent de faire l’actualité

Les livraisons

Selon une autre de ces histoires rassurantes sur les bienfaits de la technologie moderne des drones, des livraisons d’équipements de protection individuelle et de fournitures de tests COVID-19 sont sur le point de débuter dans une localité particulièrement isolée. La société Drone Delivery Canada de Vaughan, en Ontario, livrera ce matériel essentiel à la communauté isolée de l’île Georgina située sur le lac Simcoe.

« Au début de la pandémie, la communauté entière a été réduite au confinement », a déclaré le conseiller de la Première nation William McCue. « Il nous faut souvent attendre jusqu’à trois semaines ou davantage avant de pouvoir appliquer chez-nous les directives de l’autorité provinciale ». M. McCue a ajouté qu’il existe un potentiel de livraison de fournitures vitales telles que l’insuline et les produits d’épicerie, si le service initial s’avérait efficace. Le programme, décrit dans une version précédente d’eFlight, est financé par le gouvernement du Canada.

Forces de l’ordre

Le service de police de Moose Jaw a ajouté trois drones à sa flotte de véhicules, et quatre agents au total sont devenus pilotes de drones, ou s’apprêtent à le devenir. La force municipale de cette ville de la Saskatchewan exploite un DJI Mavic Mini, pour la formation des futurs pilotes, un Mavic Dual, aux fins de déploiement rapide, et un DJI M300 RTK, pour les opérations complexes nécessitant une caméra zoom haute définition ou une imagerie thermique, entre autres fonctionnalités avancées.

Violation de la loi

Le centre correctionnel de Joyceville de Kingston, en Ontario, a de nouveau été le site d’activités illégales de drones, alors qu’un de ces appareils transportant une cargaison illicite a été récupéré sur le terrain de l’établissement. Des articles de contrebande, dont près de 130 grammes de marijuana, plus de 10 grammes de fentanyl et près de 43 grammes de crystal meth, ont été récupérés le soir du 12 août. Également inclus dans la tentative de contrebande ratée figuraient des cigarettes, un téléphone portable et son chargeur. Les autorités ont affirmé que la valeur des articles interceptées atteignait 14 416 $.

Crédit d’image : DJI

Percée majeure imminente dans la technologie des batteries

Selon le site Web Aerotime Hub, des chercheurs de l’Université Dalhousie, en Nouvelle-Écosse, ont récemment publié un article décrivant une nouvelle technologie de cellule électrique capable de stocker 60 pour cent plus d’énergie que les cellules lithium-ion existantes.

Le groupe de recherche Jeff Dahn de l’université d’Halifax travaille en étroite collaboration avec Tesla sur l’amélioration des batteries de leur gamme de véhicules à moteur, mais toute percée dans l’amélioration de la densité énergétique des batteries a un effet direct sur la viabilité des avions à propulsion électrique, où le poids est beaucoup facteur plus important qu’avec les véhicules terrestres.

Jeff Dahn (centre – arrière) et les membres de son équipe de recherche 2019.

La densité d’énergie fait référence à la quantité d’énergie stockée qu’une pile peut contenir pour un poids ou un volume donné.

À titre d’exemple, le vol alimenté par batterie de Harbour Air en décembre dernier (voir l’article dans l’infoLettre COPA) était limité par la batterie de bord à une durée de 15 minutes avec une réserve de 25 minutes.

Le professeur Dahn, qui a obtenu son doctorat à l’Université de la Colombie-Britannique, a siégé à la faculté de l’Université Simon Fraser avant de regagner Dalhousie. Il est considéré comme l’un des pionniers dans le développement de ces batteries lithium-ion omniprésentes dans nos vies modernes. Il détient actuellement, –ou a déposé–, 65 brevets sur la technologie des batteries.

Chez Tesla, le fondateur Elon Musk, formé à l’Université Queen’s, a admis que, même si sa berline Model 3 est conçue pour durer un million de milles, les batteries actuellement disponibles fixent une limite d’environ 300 000 à 500 000 milles. Il espère donc faire correspondre le cycle de vie de la voiture elle-même avec celui des batteries dans un avenir rapproché. Le 15 septembre, Tesla prévoit tenir une conférence d’information intitulée Battery Day (Jour de la batterie).

Crédits image : Université Dalhousie

FAA Revises Proposed Cherokee AD

The U.S. aviation regulator FAA has issued a supplemental notice of proposed rulemaking (SNPRM) that addresses feedback from concerned parties about their proposed Airworthiness Directive (AD) calling for the installation of inspection panels on the lower side of the inboard wing section of certain PA-28-140s, 28-150s, 28-160s, 28-180s, 28-235s, 32-260s and 32-300s.

The inspection panels would allow for visual access to the wing spar area that is otherwise difficult to access. If corrosion were to be found, the AD required corrective action to be taken. The original NPRM was issued on November 7, 2017 and was prompted by a number of reports of ‘significant corrosion’ at the wing spar.

Responding to feedback received from a few individuals and the AOPA (which the FAA misidentifies in the SNPRM as the Airline Owners and Pilots Association), the FAA released more details on what provoked the proposed AD. The regulator cited two PA-28-161s, one in Chile and one in Scotland, where significant corrosion had been found during or after the installation of wing inspection panels. The AOPA also requested the FAA publish its Small Airplane Risk Assessment (SARA) on the issue.

A key concession that the FAA has made in the SNPRM was to drop the requirement for the installation of inspection panels and allow for borescope inspections.

Appended below is a PDF version of the SNPRM. Those wishing to contribute a comment to the FAA on this SNPRM can do so by clicking here.

Photo credit: Scott Kinney

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Give Hope Wings’ 2020 Expedition

Now in its third year of existence, Give Hope Wings is again organizing a fundraising effort by pilots that involves what pilots like doing most – flying. The recipient of the funds is Hope Air, a national charity that in turn organizes transportation, at no charge, for patients in need of medical care in far off places.

This year’s program, dubbed The Sault to Saguenay Expedition, will begin on September 30, taking off from Burlington airport (CBZA) in Southern Ontario, stopping in Sault Ste. Marie, Timmins and Sudbury before continuing on to Quebec City and the Saguenay region, ending there five days later. Media events that include Hope Air beneficiaries are being organized for each of the stops.

“I remember flying a child in Sudbury that was five months old but only weighed 10 pounds due to birth complications,” said COPA member and this year’s expedition leader Lee Arsenault, also a volunteer Hope Air pilot. “I will never forget how appreciative this young mother was for a free flight. It is moments like this that make our missions flying patients so rewarding.”

Give Hope Wings was founded by former COPA director and chairperson Dave McElroy. In 2018 he led a two-plane expedition around the perimeter of South America, departing from and returning to his home airport of Kelowna, British Columbia (CYLW), which raised over $500,000 for Hope Air.

McElroy also led the 2019 Northern Expedition up the British Columbia interior, through the Northwest and Yukon Territories to the Arctic Ocean, and then on to Alaska. Three aircraft participated in that event (including one flown by this writer) and over $250,000 for Hope Air was raised. In all, funds raised by Give Hope Wings expeditions have provided over 3,000 flights for patients needing out-of-town transportation.

“Thousands of families are helped every year through our work, and we want to continue and help even more people,” added Hope Air CEO Mark Rubinstein. “This expedition is an opportunity for us to do so.”

Pilots for this year’s expedition are still being recruited and those interested are invited to visit the Give Hope Wings website for further information. Donations are of course welcome and can be made online at Hope Air’s secure website.

Stephenville Airport Under New Management

In a press release issued late last week, the Stephenville Airport Corporation (SAC), current operator of the Stephenville airport in Newfoundland (CYJT), announced that it had entered an agreement with the Winnipeg Airport Services Corp. (WASCO) to assume management of the airport.

WASCO, a subsidiary of the Winnipeg Airport Authority (WAA), currently operates airports in The Pas, Manitoba (CYQD), Iqaluit, Nunavut (CYFB) and Dawson Creek, British Columbia.

“Our experience operating community airports enables us to take a holistic approach towards airport operations, relying on the expertise of our staff and the entire WAA team to find efficiencies, resolve obstacles and add the greatest value for the community,” said WASCO managing director Michael O’Gorman.

Stephenville resident Lew Short, previously a regional manager for Transport Canada, has been named as the new airport manager.

“This partnership agreement is welcome news for our town, airport employees and region,” Stephenville mayor Tom Rose said. “The new business model for our airport through WASCO’s management services will course a new flight path and future for Stephenville.”

The airport was built in 1941 by the US Army Air Force (later to become the US Air Force) and operated by them until 1966 as the Ernest Harmon Air Force Base. It’s 10,011-foot runway served as a potential emergency landing facility for NASA’s space shuttle when it was operating.

Although Stephenville, located on Newfoundland’s east coast, has a population of only about 6,600, the airport’s catchment area, from Corner Brook in the north to Port aux Basques in the south, is about 100,000 people.

Photo credit: Stephenville Airport Corporation